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Le PDG de Broadcom impose aux employés de VmWare de revenir au bureau après la fusion des entreprises pour 69 milliards de dollars
Et ravive les comparaisons entre télétravail et présentiel au bureau

Le , par Patrick Ruiz

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Le fabricant de puces Broadcom vient d'écrire l'un des chapitres les plus récents de la longue histoire des tensions entre patrons et employés dans le contexte de la multiplication des appels de retour au bureau. Après l'acquisition de VmWare pour 69 milliards de dollars, le PDG de Broadcom, Hock Tan, donne un ordre direct à ses nouveaux employés quant à leur lieu de travail : « Si vous habitez à moins de 80 km d'un bureau, vous devez venir ici. » Sa sortie qui intervient dans un contexte où des observateurs sont d’avis que le télétravail est parti pour demeurer dans le post-pandémique ravive les comparaisons entre travail à distance et présentiel au bureau. En effet, même Microsoft déclare à ce sujet que les managers ont tort de chercher à espionner les clics de souris et les frappes au clavier des employés en télétravail car « le plus important c’est le résultat. »

Ces commentaires ont fait l'objet de formulation lors d'une réunion organisée par Hock Tan après la clôture officielle de la fusion entre les deux entreprises, suite à l'approbation des autorités de régulation chinoises. Comme beaucoup d'autres dirigeants, le PDG de Broadcom évoque les avantages du présentiel au bureau pour la collaboration et la culture d'entreprise. « La collaboration est importante et constitue un élément clé du maintien d'une culture avec vos pairs, avec vos collègues », souligne-t-il.

Cette prise de position s’accorde avec celle de Marissa Meyer PDG de Yahoo en 2013 : « certaines des meilleures décisions et idées viennent de discussions de couloir et de cafétéria, en rencontrant de nouvelles personnes et dans des réunions d'équipe improvisées » avant d’ajouter que « la rapidité et la qualité sont souvent sacrifiées lorsque nous travaillons à la maison » et qu'avoir un Yahoo! uni « commence par être physiquement ensemble ». En 2017, IBM a mis en avant des arguments allant dans le même sens pour mettre fin au télétravail. Comme quoi, le présentiel serait un plus dans la stimulation de la productivité des employés.


La sortie du PDG de Broadcom intervient dans un contexte où La proportion de travailleurs rappelés au bureau a stagné, d'après des données publiées par un économiste de l'université de Standford. La situation est de nature à suggérer que le phénomène du travail à distance généralisé, qui a pris un envol considérable en raison de la pandémie de coronavirus, est devenu un élément permanent du secteur de l’emploi. C’est en tout cas, ce que pense le professeur Nick Bloom pour ce qui est du marché américain pour lequel il écrit : « le retour au bureau est mort. »


En mai 2020 - au début de la pandémie de Covid-19 - 61,5 % des journées de travail complètes et rémunérées ont été effectuées à domicile, selon une enquête sur les conditions de travail et les attitudes. Cette proportion a diminué de moitié environ jusqu'en 2022, les entreprises ayant rappelé leurs employés au travail en personne.

Toutefois, la situation a changé en 2023. La part des jours de travail à domicile rémunérés est restée totalement stable cette année, oscillant autour de 28 %, selon des données additionnelles publiées par le professeur Bloom. C'est encore quatre fois plus que les 7 % d'avant la pandémie. L'enquête sur les ménages du Bureau du recensement américain montre une tendance similaire, d'après le chercheur.


La sortie de l’économiste donne un aperçu du conflit qui se joue sur le marché du travail. Les employés qui ont gouté au télétravail pendant les confinements dus à la pandémie veulent poursuivre sur cette formule tandis que les employeurs veulent dans leur grande majorité les ramener au bureau. Le télétravail semble néanmoins être là pour rester si l’on s’en tient à un précédent rapport du gouvernement américain : plus d’un tiers des travailleurs américains continuent d’exercer depuis leur domicile en dépit des appels de retour au bureau des géants technologiques US.

Environ trois ans après que la pandémie de coronavirus a bouleversé les habitudes de travail aux États-Unis, près d'un tiers (35 %) des travailleurs dont l'emploi peut être exercé à distance travaillent tout le temps à domicile, selon une nouvelle enquête du Pew Research Center. Ce chiffre est certes en baisse par rapport aux 43 % de janvier 2022 et aux 55 % d'octobre 2020, mais en hausse par rapport aux 7 % seulement d'avant la pandémie.

La diminution du nombre d’employés en télétravail permanent est la résultante du rapport de force entre employeurs et employés, lequel a débouché sur le « compromis » du travail hybride. L’enquête du Pew Research Center révèle que 41 % des personnes ayant un emploi pouvant être exercé à distance ont un horaire hybride, c'est-à-dire qu'elles travaillent à domicile certains jours et au bureau, sur le lieu de travail ou sur le site de l'entreprise d'autres jours. Ce chiffre est en hausse par rapport aux 35 % enregistrés en janvier 2022.

Parmi les employés lancés sur la formule travail hybride, la plupart (63 %) déclarent que leur employeur leur demande de travailler au bureau un certain nombre de jours par semaine ou par mois. Environ six travailleurs hybrides sur dix (59 %) déclarent travailler à domicile trois jours ou plus au cours d'une semaine normale, tandis que 41 % déclarent le faire deux jours ou moins.


Ces tendances représentent plus de télétravail que les employeurs ne sont enclins à permettre. En effet, les résultats de l'enquête de la Federal Reserve Bank of New York indiquent que les entreprises préfèrent en général moins de travail à distance que ce n'est le cas pour le moment. Et donc, dans l'ensemble, elles ont procédé à des changements exigeant davantage de travail au bureau. En effet, environ 25 % des entreprises de services interrogées dans le cadre de l’enquête de la Federal Reserve Bank of New York ont exigé des travailleurs qu'ils soient plus souvent au bureau au cours de l'année écoulée et 17 % déclarent qu'elles augmenteront les exigences en matière de présence au bureau au cours de l'année à venir.

Les employés sont-ils plus productifs en télétravail ou dans un bureau ?

La question se posait déjà avant la survenue de la pandémie de coronavirus et revient sur la table avec acuité dans l’actuel contexte fait d’appels de retour au bureau par les grandes entreprises. Microsoft a initié un sondage sur un échantillon de 20 000 personnes dans des entreprises disséminées dans 11 pays pour y voir plus clair. Résultat : 87 % des participants à l’enquête disent être plus productifs en télétravail et 88 % des dirigeants émettent des doutes quant à ce que leurs employés en télétravail puissent être plus productifs que dans un bureau.


Les employés de Twitter pouvaient travailler à domicile pour toujours ou de là où ils se sentent le plus productifs et créatifs depuis le mois de mars 2022. C’est l’une des entreprises à avoir adopté l’une des politiques de travail à distance les plus souples en raison de la survenue de la pandémie de coronavirus. Cette donne a changé avec l’acquisition de Twitter par Elon Musk. L’une de ses premières mesures : fin du télétravail pour ceux qui continuent à faire partie des effectifs du réseau social après la suppression de la moitié des emplois. Ce dernier a ensuite confirmé son positionnement dans une sortie selon laquelle « le télétravail est une connerie qui pose un problème moral et est cause de baisse de productivité. »

« Je crois fermement que les gens doivent être plus productifs lorsqu’ils sont lancés sur la formule "présentiel au bureau" », a-t-il déclaré avant d’ajouter entre autres que « le télétravail pose un problème moral, car c’est une formule injuste pour les personnes qui ne peuvent travailler à domicile. »


Pourtant, certaines études font état de ce que le travail à distance n’a pas d’impact négatif sur la productivité des travailleurs

L'équipe de l'université du Texas a travaillé sur des données d’un logiciel fourni par une grande entreprise pétrolière et gazière de Houston. Pendant la période d'étude (de janvier 2017 à décembre 2018), l'entreprise a été contrainte de fermer ses bureaux en raison des inondations provoquées par l'ouragan Harvey, ce qui a obligé les employés à travailler à distance pendant une période prolongée.

Les chercheurs ont examiné les données technologiques des employés (le nombre total d'heures travaillées par employé, le temps de travail actif total, l'utilisation du clavier par minute active, l'utilisation de la souris par minute active, les mots tapés par heure et le nombre d'erreurs typographiques par mot tapé) avant, pendant et après l'ouragan Harvey. Ils ont constaté que, bien que l'utilisation totale des ordinateurs ait diminué pendant l'ouragan, les comportements professionnels des employés pendant la période de sept mois de travail à distance sont revenus aux niveaux d'avant l'ouragan. Cette conclusion suggérait que le travail à distance n'a pas d'impact négatif sur la productivité des personnes lancées sur la formule télétravail.

Néanmoins, le télétravail introduit un facteur « difficulté de collaboration à distance » avec un possible impact sur la productivité

Cette étude fait suite à celle de Hogan Assessments 43 % des travailleurs ont déclaré être plus productifs à domicile, 44 % ont déclaré être aussi productifs et seulement 13 % ont déclaré être moins productifs. Toutefois, le rapport montre que les travailleurs ont trouvé la collaboration à distance plus difficile, de sorte que le fait que la plupart des travailleurs aient déclaré se sentir aussi ou plus productifs est dû au fait qu'ils étaient plus productifs lorsqu'ils travaillaient seuls.


C’est une des brèches dans lesquelles s’engouffrent les chefs d’entreprise quand on sait qu’ils sont d’avis que les employés doivent retourner au bureau, car cela stimule la créativité : « la communication marche mieux face à face. » Les dirigeants sont convaincus que les collègues construisent de meilleures relations de travail par exemple quand ils prennent le déjeuner ensemble, prennent le temps de discuter de divers sujets, même les plus banals ou alors participent à des exercices destinés à développer l’esprit d’équipe.

En droite ligne avec ce positionnement, ces derniers évoquent un « impact sur la créativité. » Le mythe selon lequel un manque d’interaction sociale réduit la créativité et l’innovation reste profondément ancré. C’est d’ailleurs l’un des arguments sur lesquels s’appuyait Marissa Mayer pour s’ériger contre le télétravail lorsqu’elle a déclaré que « certaines des meilleures idées et décisions surviennent après des discussions à la cafétéria ou au couloir, après des rencontres avec les gens et des rendez-vous d’équipes impromptus ».

Toutefois, si des recruteurs estiment que les conversations dans le genre « peux-tu s’il te plaît vérifier ceci ? » sont importantes, des contradicteurs pointent le revers de la médaille. Ces derniers indiquent que des « interactions » peuvent se transformer en « interruptions » qui coûtent plus ou moins cher en termes de productivité et flux de créativité. Des tiers en télétravail avancent par exemple que « les distractions sont insupportables. Les téléphones qui sonnent, les gens qui débarquent et ressentent toujours le besoin d’interrompre pour absolument tout (que ça soit relié ou non au travail) et plusieurs appels à propos de projets qui ne sont pas liés qui résultent en changement de contexte. »

Un employé dans un bureau serait productif sur moins de 3 des 8 heures sur une journée de travail

L’étude d’Invitation Digital Ltd a porté sur près de 2000 (1989 pour être exact) employés de bureau (à temps plein) âgés de plus de 18 ans et disséminés sur l’ensemble du territoire du Royaume-Uni. En réponse à la question de savoir s’ils se considèrent comme productifs tout au long d’une journée de travail, la grande majorité (soit 79 %) a répondu non. D’après les résultats de l’étude, seul le cinquième (donc les 21 % restants) a répondu par l’affirmative. Le sondage a ensuite révélé que la durée moyenne de productivité sur le lieu de service est de 2 h 53 min, soit moins de 3 h.

Et vous ?

Ces statistiques collent-elles avec la réalité dont vous êtes au fait ?
Êtes-vous en accord avec la posture de Microsoft à propos du télétravail selon laquelle « le plus important c’est le résultat » ? Sinon quel est votre avis en la matière ?
Êtes-vous personnellement plus productif en travaillant à distance ?
Quelles sont pour vous les difficultés majeures qui limitent votre productivité dans ce mode de travail ?
La collaboration entre vous et vos collègues a-t-elle été affectée par le travail à domicile ?

Voir aussi :

Le travail à domicile présente tant d'avantages que 48 % des travailleurs accepteraient une baisse de salaire pour continuer en télétravail, selon une étude

Le travail hybride sera-t-il la nouvelle norme pour les professionnels de la Tech ? une récente étude montre que 86 % de ces professionnels en Europe ne veulent pas rentrer au bureau à plein temps

L'option télétravail pourrait se poursuivre sur 2 ans à cause de la pandémie : motif d'inquiétude valable pour les patrons ? Ramener les employés au bureau pourrait être de plus en plus difficile

Le télétravail a fait grimper la productivité des salariés de 22 %, d'après une étude de l'institut Sapiens, qui souligne en sus que cela a permis une sauvegarde de 9 points du PIB français en 2020

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Avatar de jpouly
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 22/03/2024 à 18:21
Les éditeurs de logiciels deviennent de vrais escrocs, si ce n'était pas le cas déjà avant.

Ils ne vendent plus des logiciels mais des ransomwares.

Il est tant que les clients y mettent fin et que les législateurs réagissent.
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Avatar de denisys
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 22/03/2024 à 20:19
Aux clients déçus de l’attitude de Broadcom envers les produits VMware.
Je leurs dis : Testez promox !!!
https://www.proxmox.com/en/proxmox-v...nment/overview
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Avatar de calvaire
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 13/12/2023 à 11:39
c'est très bien ce monde remplie d'abonnement.

je propose une idée pour améliorer les profits: ajouter de la pub.
comme netflix, payer tous les mois et regarder le pub.

l'avenir d'un jeune est très radieux en occident:
abonnement du logement (car l'achat de son bien immobilier et devenue trop cher), abonnement voiture (car zfe et voiture neuve coute trop cher), abonnement netflix, spotify, youtube premium, amazon prime, disney+ pour les loisirs.
abonnement windows, office, adobe creative, vmware pour le taff.
salaire supernet median en france 2000€ car faut payer la dette et les prestations social et le train de vie de l'état
prix total des dépenses: 1800€, reste plus que 200€ pour payer facture électricité, gaz, assurances et nourriture.

et voila comment on prive une génération de se monter un capitale solide.

vous pouvez dire que personne ne force a payer pour netflix, youtube, vmware etc. Si vous dites cela c'est que vous êtes comme moi un vieux crouton.
Quand un jeune est habitué depuis toujours a payer tous les mois des abonnements, c'est son monde et il ne connais que ca. comme un poulet elevé dans une cage sombre, il ne connais pas l’extérieur et la nature.

Perso je reste sur ma politique: 0 abonnement sauf assurance voiture, maison et électricité et eau. car c'est de l'arnaque. Et encore pour l’électricité j'ai grandement réduit ma dépendance EDF.

Pour en revenir plus spécifiquement à la news, bossant dans le cloud justement ca fait 10ans que j'ai plus utilisé vmware au profit d'OpenStack et de kvm. et ca marche tres bien si ce n'est mieux.
des alternatives crédible et gratuite ca existe.
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 23/03/2024 à 7:07
Aux clients déçus de l’attitude de Broadcom envers les produits VMware.
Je leurs dis : Testez promox !!!
tout à fait , ou Hyper-V

Et pour les FAI, il y a: OpenStack déjà massivement utilisé par ailleurs.
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Avatar de JP CASSOU
Membre confirmé https://www.developpez.com
Le 13/12/2023 à 10:07
Logiciels en location = next.
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 19/02/2024 à 18:36
Je pense que ça va augmenter l'usage d'Hyper-V et de KVM
2  0 
Avatar de Vitalnet
Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 30/03/2024 à 14:33
Proxmox, la migration d'une VM s'effectue à chaud au sein d'un cluster et l'utilisation d'un stockage de type CEPH. Cette opération est aussi simple que de la création. Si l'option haute disponibilité est configurée, cela procure l'avantage que si un nœud (serveur) tombe en panne pour une raison quelconque, les machines virtuelles de ce serveur se déplaceront automatiquement vers un autre nœud. Pour ce faire, ils utilisent le quorum (un vote est effectué et le gagnant obtient les machines virtuelles du nœud défaillant).

L'autre avantage provient des conteneurs LXC pour des services de type Linux, la gestion du service a une faible emprunte sur les performances globales. Cela change de VM Ware et au-delà de Docker.

Après la migration d'une infrastructure VM Ware vers une plate-forme matérielle plus récente, assurant la production, les anciens matériels sont conservés à titre de développement, d'intégration et de recette, seul VM Ware a cédé la place à Proxmox 8 qui a migré et repris les VM. Celles sous Windows sont restées, les VM Linux sont converties en conteneur. A la vue des performances obtenues par cette plate-forme, VM Ware sera remis en cause lors de la prochaine migration matérielle.

Cette migration a demandé pas mal d'huile de coude, par le changement des paradigmes, des habitudes, etc.
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Avatar de der§en
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 13/12/2023 à 10:14
POUF, vmware vient de perdre un client…

je vais migrer sur VirtualBox quand mon vmware aura besoin de MAJ…
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 30/03/2024 à 13:15
Quelles sont les fonctionnalités que vous aimeriez voir ajoutées à l’assistant d’importation de Proxmox ?
La possibilité d'effectuer une migration à chaud.

Pensez-vous que les solutions open-source comme Proxmox sont l’avenir de la virtualisation ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
Si les solutions payantes apportent un plus, pourquoi ne pas les utiliser ? Mais dans le cas de petite structure, avec quelques VM sur un seul hyperviseur : aucun intérêt. Et certaines solutions payantes tierces pouvant se greffer à Esx sont plus efficace dans certains cas que ce qui est proposé par VMWare. (rapport qualité/prix, complexité).

Avec Hyper-V, on a une solution native pour les environnements Microsoft, avec KVM on a une solution pour environnements Linux, Proxmox étant un frontend utilisant KVM.
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 30/03/2024 à 17:49
a migration d'une VM s'effectue à chaud au sein d'un cluster et l'utilisation d'un stockage de type CEPH.
Cette option existe également avec VMWare et VSphere mais pas en gratuit.

Ma remarque était sur la migration d'une VM Esx vers Proxmox qui ne peut pas se faire à chaud apperement, la VM peut être migrée de ESX vers Proxmox mais doit être à l'arrêt.
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