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Marché de l'emploi pour la génération Z : 1,2 million de diplômés se disputent seulement 17 000 postes dans un contexte d'essor de l'IA et des emplois fantômes
Une grave crise de l'emploi au Royaume-Uni

Le , par Alex

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6  0 
Marché de l'emploi pour la génération Z : 1,2 million de diplômés se disputent seulement 17 000 postes dans un contexte d'essor de l'IA et des emplois fantômes, une grave crise de l'emploi au Royaume-Uni

Marché de l'emploi pour la génération Z : 1,2 million de diplômés se disputent seulement 17 000 postes dans un contexte d'essor de l'IA et des emplois fantômes. Une grave crise de l'emploi touche la génération Z au Royaume-Uni, causée par l'IA et l'essor des emplois fantômes.

La génération Z est confrontée à une « apocalypse de l'emploi » alors que les entreprises privilégient l'IA plutôt que les nouvelles recrues et accélèrent l'intégration de l'IA pour réduire les coûts au détriment des postes de débutants, selon un rapport du BSI. Selon l'étude, près d'un tiers des cadres déclarent que leur entreprise envisage désormais des solutions d'IA avant d'embaucher de nouveaux employés, tandis que 39 % admettent que les postes de débutants ont déjà été réduits ou supprimés en raison de la rationalisation de l'IA.

La concurrence entre les jeunes diplômés universitaires au Royaume-Uni a atteint des niveaux sans précédent, avec 1,2 million de candidatures pour seulement 17 000 postes ouverts dans le cycle 2023/2024. Cette statistique alarmante, soulignée par Rob Breare, PDG du Malvern College International, met en évidence une grave « crise de l'emploi » pour la génération Z, amplifiée par des forces disruptives telles que l'intelligence artificielle (IA) et l'essor des « emplois fantômes ».

Souvent qualifiés de désengagés ou de peu ambitieux, les diplômés de la génération Z feraient en réalité preuve d'une immense détermination à lancer leur carrière. Cependant, ils sont confrontés à un marché du travail de plus en plus hostile. L'avènement de l'IA automatise rapidement de nombreuses tâches traditionnelles de niveau débutant, remplaçant ainsi les postes historiquement occupés par les nouveaux diplômés. À ce défi s'ajoutent les « emplois fantômes », des postes publiés qui n'existent pas ou qui ne sont pas destinés à être pourvus, et qui servent uniquement à améliorer la réputation de l'entreprise ou à collecter des données sur les candidats. Cet environnement instable a même poussé les responsables de l'éducation à tirer la sonnette d'alarme.


S'exprimant lors du Fortune Global Forum, Breare a mis en évidence le déséquilibre flagrant : « Il y a aujourd'hui beaucoup de diplômés qui sortent des universités, ce qui signifie qu'il y a nécessairement plus de personnes diplômées que d'emplois disponibles. » Il a également cité les « statistiques plutôt choquantes » de l'Institute of Student Employers (ISE), qui révèlent un écart monumental entre 1,2 million de candidatures et seulement 17 000 postes pour diplômés au Royaume-Uni. Ce chiffre, a fait remarquer Breare, « commence à donner une idée de la compétitivité croissante de ce marché », marquant un tournant décisif pour les jeunes professionnels qui cherchent à entrer sur le marché du travail.

L'influence croissante de l'IA sur l'emploi ne se limite pas à remodeler les industries ; elle oblige également les établissements d'enseignement supérieur à réévaluer leurs programmes et leurs systèmes de soutien. Alors que les agents IA prennent en charge de plus en plus de tâches autrefois réservées aux nouveaux employés, les universités sont sous pression pour doter les diplômés de compétences plus avancées et d'une compréhension plus approfondie des paysages technologiques en constante évolution. Cette dynamique en pleine évolution signifie que les diplômés d'aujourd'hui font les frais d'un système éducatif qui peine à s'adapter suffisamment rapidement au rythme des changements technologiques et aux exigences du marché.

La crise de l'emploi de la génération Z au Royaume-Uni est un défi multiforme, combinant une concurrence intense, des bouleversements technologiques et des pratiques trompeuses sur le marché du travail. Loin d'être un manque d'ambition, elle met en évidence un problème structurel où le nombre de diplômés qualifiés dépasse largement les opportunités disponibles, poussant les jeunes diplômés dans une lutte sans précédent pour entrer dans la vie active. Pour y remédier, il faudra que les éducateurs, les employeurs et les décideurs politiques collaborent afin de combler le fossé qui se creuse entre l'offre et la demande de talents.

Pourtant, Sam Altman, le PDG d'OpenAI, a relativisé les préoccupations concernant les pertes d'emplois causées par l'IA, suggérant que les emplois supprimés ou transformés par l'IA pourraient ne pas être considérés comme du « vrai travail » à long terme. Il a comparé cette évolution aux changements industriels du passé, affirmant que, tout comme les agriculteurs considéraient autrefois le travail intellectuel comme « n'étant pas du vrai travail », les générations futures pourraient percevoir les emplois actuels de la même manière, à mesure que l'IA redéfinit la notion de travail utile.

Source : Rob Breare, PDG de Malvern College International

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Diplômés et désabusés à l'ère de l'IA : la génération Z estime que les diplômes universitaires ont été une perte de temps et d'argent , tandis que l'IA s'infiltre de plus en plus en entreprise

37 % des employeurs préfèrent embaucher une IA plutôt qu'un jeune diplômé de la génération Z, selon un rapport qui estime que l'enseignement traditionnel ne prépare pas suffisamment pour le monde du travail

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Avatar de Anselme45
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 17/11/2025 à 9:15
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
peut être que la gen z est sur la mauvaise voie.

Plutôt que de perdre 5ans (parfois avec un crédit) dans des études d'ingénieurs qui n'offriront pas de boulot ou au mieux sous payé. Envisager plutôt une carrière manuel (électricien, plombier, entretien d'espace vert, climatiseur...).
...
Une belle jeune qui sert les repas, les lavent, offre des discussions et une présence "authentique" voir offre des prestations sexuelles si il en a envie (oui j'en ai vu en Thaïlande, l'épouse parfaite de 20ans qui sert le monsieur de 70ans).
Le marché devrait encore bien monter dans ce secteur jusqu'en 2040 au moins.
Alors là, j'hallucine!

Après avoir fait la promotion des mines australiennes au lieu d'étudier, voilà que vous faites la promotion pour les jeunes femmes du métier de putes pour vieillard ???
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Avatar de MaxLavache
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 17/11/2025 à 18:01
Chaque génération porte sa croix. Nous les Y on était la génération "No Future" carrément. On nous a juste oubliés entre les super boomers X (nos parents) et les merveilleux et uniques flocons de neige Z (nos petits frères/sœurs). Nous dès le collège dans les années 90 on nous disait qu'on ne connaitrait que le chômage, les 30 glorieuses c'est fini, vous allez en ch..., les universités sont des usines à chômeurs surdiplômés, etc... C'était pas plus gai à notre époque. On a servi de cobayes sociaux avec la dérégulation du marché du travail, la sous-traitance en cascade, les bas salaires et la précarité en mode "presta". On commence à peine à sortir la tête de l'eau professionnellement et financièrement à 40 ans passés. Bon courage les jeunes!
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Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 16/11/2025 à 23:08
Les juniors ne seraient plus nécessaires, plus rentables, plus désirables. L’IA prend leur place, et l’économie semble s’en contenter.
Dire ça c'est oublier qu'aucune boîte d'IA générative n'est pour l'instant rentable. Et que quand elles vont vraiment avoir besoin de le devenir, ça va sans doute changer la donne.
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Avatar de RenarddeFeu
Membre averti https://www.developpez.com
Le 17/11/2025 à 8:44
Citation Envoyé par GLDavid Voir le message
Le doute est donc bien présent.
Et surprise, beaucoup considèrent qu'un métier manuel, comme tu le décris calvaire, et bien c'est la bonne voie échappatoire. La demande est présente. Et puis, c'est fini la vision comme quoi un métier manuel, c'est pour ceux qui n'ont pas le niveau pour des études supérieures.
Ce que je me demande : c'est si à terme les formations aux métiers manuels ne vont pas connaître les mêmes déboires que l'enseignement supérieur. Du genre : des jeunes veulent devenir plombier après avoir vu la grille de salaire mais ne veulent pas exercer un métier salissant.

Par ailleurs, autant un col blanc peut brasser du vent sans que ça se remarque. Autant la sanction est immédiate quand un travailleur manuel ne fait pas bien son boulot.

Ce sont juste des réflexions, je n'ai pas de solution au problème.
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Avatar de Ryu2000
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 17/11/2025 à 13:06
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
Plutôt que de perdre 5ans (parfois avec un crédit) dans des études d'ingénieurs qui n'offriront pas de boulot ou au mieux sous payé. Envisager plutôt une carrière manuel (électricien, plombier, entretien d'espace vert, climatiseur...).
Il est vrai que si quelqu'un veut facilement trouver du boulot, il peut faire des études pour devenir maçon. Il y a un manque de maçon en France.

Mais les métiers du bâtiment ne sont pas pour tout le monde. Ce sont des métiers difficiles. Ce n'est pas aussi confortable que de bosser dans un bureau, chauffage l'hiver, climatisation l'été, fauteuil à roulette.
Remarque les métiers de bureau ne sont pas pour tout le monde non plus, beaucoup de gens ne pourraient pas supporter d'être assis toute la journée, en plus ça manque de sens et d'accomplissement.
Quand tu fais un métier concret, tu vois ton chantier avancer, c'est physique, c'est réel.
Il y a plein d'employés de bureau qui ne savent pas à quoi servent leur job, ils ne sont qu'une roue dentée dans un engrenage.

Citation Envoyé par calvaire Voir le message
les vieux qui auront de l'argent voudront de la compagnie humaine et ne voudront pas d'une compagnie robotisé pour s’occuper d'eux.
Beaucoup de vieux sont pauvres.
Si t'as été toute ta vie au SMIC tu ne te fais pas une grosse retraite.
Ils ne pourraient pas se payer un Établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EPHAD). (ça peut coûter 3000€/mois voir plus)
Dans le futur les lois sur l'euthanasie vont changer. Plein de vieux demanderont la mort.
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Avatar de MaxLavache
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 17/11/2025 à 18:35
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
Et pourquoi ils sont pauvres ?
J'approche de la 40aine et je vois les conséquences des choix de vie de mes amis et connaissances.
Dans la vingtaine, on avance tous à peu près sur la même trajectoire, avec les mêmes illusions et les mêmes possibilités.
Mais arrivé à la fin de la trentaine, les résultats commencent à tomber.
La réalité empirique finit toujours par faire le bilan de nos décisions, pour le meilleur ou pour le pire.
Et là, on voit clairement les effets du cumul, qu’ils soient positifs ou négatifs.



C'est bien à 20ans qu'il faut faire les bon choix pour préparer son avenir. Trouver la bonne formation, le bon mari, les bon investissement financier, les bonnes orientation de carrière.
L'école ne forme pas à ca, les profs au lycée ne connaissent rien au marché du travail, aux salaires, l'école n'enseigne rien à l'éducation financière.
l'école en France est complétement dépassé, les profs n'y connaissent rien au marché du travail, aux salaires, aux carrierisme, l'école ne fournit aucune éducation financière.
Les cassos que j'avais au collège/lycée sont pauvre et crèveront pauvre. Les nanas qui se sont accouplé avec ces cassos finiront comme eux aussi. La plupart gaspillent leurs argent dans des passifs (smartphone, télé..) et leurs jeunesses dans des activités improductive. étude bidon, activité qui ne les forment pas (boite de nuit...) au lieu de se former, couchent avec des personnes sans avenir, les femmes/hommes de haut potentiel c'est pendant les études supérieur qu'ils faut les choper, après c'est trop tard.
Ouh la... T'étais pas bizu du bahut toi? Résumer la pauvreté des retraités en parlant de cassos c'est vraiment qu'on a rien compris à la vie. Ceux qui finissent vraiment pauvres à la retraite sont pour la plupart des gens modestes qui ont commencé des métiers pénibles (les agriculteurs qui te nourrissent, les ouvriers qui construisent, etc) très tôt à une époque que toi t'as pas connue. Tu parles de "trouver" la bonne formation ou de se la faire payer par les parents? La bonne école d'ingé ou de management à X dizaines de milliers d'euros par an, on en parle? Avec le pognon de papa/maman les choix sont bien différents...
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Avatar de smarties
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 18/11/2025 à 10:20
@Ryu2000

Tu peux ouvrir un PER en mettant max 4000€/an car au dela ça ne défiscalise pas plus
Ouvrir une assurance vie (que tu dois alimenter la 1e année 300€ environ) mais ne surtout pas la fermer car l'état compte piocher dans les assurances vie l'année prochaine et il ne pourra pas piocher dans celle ouvertes avant adoption de la loi (donc ouvrir pour ses enfants aussi). Tu peux choisir différent support dedans (sécurisé : fond euro mais faible rendement autour des 1%, équilibré : 20-30% de risque et je constate un rendement de 4-5%, dynamique mais c'est plus risqué, il y a aussi de l'immobilier papier si tu veux).
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Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 18/11/2025 à 12:31
En France la pauvreté et tous sauf héréditaire.
Le mythe de l'american dream à la française ?
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Avatar de RenarddeFeu
Membre averti https://www.developpez.com
Le 17/11/2025 à 0:01
La majorité des cols blancs exerce des fonctions type "concierge de luxe" sans rapport avec leur niveau d'études. Et cette tendance se retrouve dans tous les domaines, de la finance à l'ingénierie. Bien-sûr que l'IA va faire un carnage !

Typiquement en France, le nombre d'ingénieurs en activité était d'environ 500000 au début des années 90, pour dépasser le million aujourd'hui. Est-ce que cela correspond à un besoin réel ? Absolument pas ! C'est juste que les employeurs ont remarqué que les ingénieurs étaient dociles et prêt à accomplir toutes sortes de tâches sans rechigner. Et ils en sont fier les bougres ! Sur LinkedIn, passent toutes sortes de memes qui ironisent sur la difficulté des études tout ça pour finir pisseur de tableau Excel. Là encore l'IA risque de faire des ravages.
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Avatar de GLDavid
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 17/11/2025 à 8:17
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
peut être que la gen z est sur la mauvaise voie.

Plutôt que de perdre 5ans (parfois avec un crédit) dans des études d'ingénieurs qui n'offriront pas de boulot ou au mieux sous payé. Envisager plutôt une carrière manuel (électricien, plombier, entretien d'espace vert, climatiseur...).
Si la tech c'est votre passion, rien ne vous empêche en parallèle sur votre temps libre de vous former avec l'ia et de développer avec l'ia votre propre produit pour tenter d'en vivre.

ou d'autres filières que l'ia ne menace pas a court/moyen terme, les métiers du CARE par exemple je pense sont tranquille pour au moins 20ans encore.
La population vieillit et le besoin en santé ne fera que croitre dans le futur. Le capitale étant majoritairement détenus par les vieux en plus, ce sont les plus susceptibles de bien vous payer dans le futur.
A titre perso, j’investis pas mal dans les prestations senior premium.
Une belle jeune qui sert les repas, les lavent, offre des discussions et une présence "authentique" voir offre des prestations sexuelles si il en a envie (oui j'en ai vu en Thaïlande, l'épouse parfaite de 20ans qui sert le monsieur de 70ans).
Le marché devrait encore bien monter dans ce secteur jusqu'en 2040 au moins.

Les femmes ont plus d'opportunités en occident, les lois d’inclusion/égalité vous feront monter dans la hiérarchie, et la misère sexuel chez les hommes peuvent vous ouvrir des portes. L'escorting premium est un marché en plein boom.
A shangai par exemple je me suis fait accosté pleins de fois par des jolies nana, bon je connais le truc c'est juste pour se faire inviter dans un bon resto ou c'est une rabatteuse pour t'attirer dans un resto spécifique.
J'imagine qu'il y'a des clients pour ça, payer juste pour être accompagné au resto.
Je discutais récemment avec des lycéens en terminale. Beaucoup sont inquiets par rapport à l'IA. En fait, ils en sont à repenser leur parcours post-bac. La question est: "Es-ce que ça vaut le coup de faire des études ?". Bien sûr, la question sous-jacente étant vont-ils trouver un travail à la hauteur de leur investissement personnel et financier ?
Le doute est donc bien présent.
Et surprise, beaucoup considèrent qu'un métier manuel, comme tu le décris calvaire, et bien c'est la bonne voie échappatoire. La demande est présente. Et puis, c'est fini la vision comme quoi un métier manuel, c'est pour ceux qui n'ont pas le niveau pour des études supérieures.
La jeunesse repense donc son futur.
Au fond, je ne vois l'IA que comme un outil. La vision high-management est que l'IA peut tout faire. Je dis, laissons l'IA se casser la gueule, ce n'est pas la 1ère fois que l'exécutif reviendra sur ses décisions.

@++
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