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Le commissaire européen à l'Emploi Nicolas Schmit milite pour la semaine de quatre jours.
« La semaine de quatre jours est une solution pour l'attractivité des entreprises », assure-t-il

Le , par Stéphane le calme

13PARTAGES

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La semaine de travail de quatre jours est-elle une solution pour améliorer l’attractivité des entreprises et l’équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle ? C’est ce que pense le commissaire européen à l’Emploi, Nicolas Schmit, qui s’est exprimé en faveur de cette réforme dans un entretien accordé à l’agence de presse portugaise Lusa. Il a expliqué que ce dispositif permettrait de gagner en attractivité auprès des « nouvelles générations [qui] ont une certaine vision de l'équilibre entre le travail et la vie personnelle ».

Ce dispositif pourrait allier productivité, attractivité et surtout, attrait des candidats. Le Commissaire européen à l'Emploi, Nicolas Schmit, a émis un avis favorable quant à la question de la semaine de quatre jours.

Il considère que « le plus gros problème [dans l’Union européenne] n’est pas tant le chômage » mais plutôt la pénurie de main-d’œuvre. « De nombreux secteurs cherchent désespérément des employés et ne peuvent les trouver parce que les gens ne veulent pas y travailler ou n’ont pas les bonnes compétences », affirme-t-il. « Ils doivent devenir plus attractifs », selon le Luxembourgeois, qui souligne que « c’est quelque chose qui avance progressivement (…) parce que les nouvelles générations ont une certaine vision de l’équilibre entre le travail et la vie personnelle ». Il prévient toutefois qu’il « n’y a pas de position commune » au sein de l’UE sur cette question.

La prise de position de Nicolas Schmit s'inscrit dans le cadre d'une expérimentation de six mois au Portugal sur la base du volontariat et sans perte de revenu dans le secteur privé. 46 entreprises se sont dites intéressées (la plupart évoluant dans les secteurs du conseil, des activités scientifiques et techniques, de l’éducation ou encore de l’information et de la communication).

Dans le bilan de la première phase de ce projet pilote, publié en mars, il a été annoncé que la deuxième phase du programme visant à mettre en œuvre la semaine de quatre jours comptait 46 entreprises intéressées sur un total de 99.

Parmi les principales raisons invoquées par les entreprises pour ne pas passer à la phase de préparation figurent les perspectives économiques mondiales, la nécessité d’un investissement financier et la complexité de la mise en œuvre. D’autres ont déclaré que « ;ce n’est pas la meilleure solution aux problèmes ;» et que les avantages de la mesure « ;ne seront pas importants ;» dans le contexte de l’entreprise.

La plupart des 46 entreprises qui ont continué à participer au projet soutenu par le gouvernement comptent jusqu’à 10 travailleurs, tandis que cinq d’entre elles emploient plus de 1 ;000 personnes.

Les principaux domaines représentés dans la deuxième phase du projet sont les activités de conseil ainsi que les activités scientifiques, techniques et similaires, à hauteur de près de 40 %, suivies par l’éducation et les activités d’information et de communication, à hauteur de 15 % chacune.


Mais le Portugal n’est pas le seul pays européen à expérimenter la semaine de quatre jours

En Belgique par exemple, les salariés ont acquis le droit en 2022 d’effectuer une semaine de travail en quatre jours au lieu de cinq, sans perdre leur salaire (la mesure est entrée en vigueur au mois de novembre). Le pays est ainsi devenu le premier de l’Union européenne à autoriser cette semaine raccourcie. Il faut souligner toutefois que si les salariés bénéficient d’un jour de repos supplémentaire, ils doivent malgré tout effectuer une semaine complète de travail, c’est-à-dire en condensant leurs heures en quatre jours, habituellement étalées sur cinq. « L’objectif est de donner aux personnes et aux entreprises plus de liberté pour aménager leur temps de travail », avait fait savoir le Premier ministre belge, Alexander De Croo.

La même année, l'Espagne a elle aussi lancé l’expérimentation de la semaine de quatre jours. Grâce à l'impulsion du gouvernement du socialiste Pedro Sanchez, 200 PME volontaires ont testé la réduction à 32 heures du temps de travail hebdomadaire (40 heures d’ordinaire), sur quatre jours, sans baisse de salaire. Le projet doit durer trois ans et déterminera si la productivité peut être améliorée, en comparant celle des 200 PME avec celle des entreprises ayant conservé la semaine traditionnelle de cinq jours.

En France, certaines administrations testent depuis plusieurs mois la semaine de quatre jours, notamment l'Urssaf et la Caisse nationale d'allocation vieillesse, à l'initiative du ministre des Comptes publics Gabriel Attal. « Globalement, les Français sont favorables à plus de libertés dans leur organisation, même si tous n'ont pas envie de cumuler 35 heures sur quatre jours », déclarait alors Gabriel Attal au quotidien L'Opinion. « Je crois que beaucoup de Français aspirent aujourd'hui à travailler différemment », a estimé Gabriel Attal. « La semaine de 35 heures en quatre jours, que 10 000 Français expérimentent déjà dans des secteurs économiques très variés comme le recyclage industriel ou l'informatique, cela peut être moins de temps passé dans les transports, moins de stress, et finalement, plus de bien-être au travail ».

La métropole de Lyon testera elle aussi la semaine de quatre jours pour ses salariés à partir de septembre 2023.


Nicolas Schmit, Commissaire européen à l’Emploi et aux Droits sociaux

L'exemple britannique

L'année dernière, 61 organisations au Royaume-Uni se sont engagées à une réduction de 20 % des heures de travail pour l'ensemble du personnel pendant six mois, et ce sans baisse de salaire.

Les résultats, publiés en février, suggèrent qu'une semaine de quatre jours réduit considérablement le stress et la maladie au sein de la main-d'œuvre et contribue à la rétention des travailleurs. Quelque 71 % des employés ont déclaré avoir des niveaux de « burnout » inférieurs et 39 % ont déclaré être moins stressés par rapport au début de la période test.

Les chercheurs ont constaté une réduction de 65 % des congés maladie et une baisse de 57 % du nombre d'employés quittant les entreprises participantes, par rapport à la même période l'année précédente. Les revenus de l'entreprise ont à peine changé au cours de la période d'essai, augmentant même légèrement de 1,4 % en moyenne pour les 23 organisations capables de fournir des données.

Dans un rapport sur les conclusions présenté aux législateurs britanniques, quelque 92 % des entreprises qui ont participé au programme pilote britannique (56 sur 61) déclarent avoir l'intention de poursuivre la semaine de travail de quatre jours, 18 entreprises confirmant le changement comme permanent.

Pour participer au projet pilote, les entreprises n'étaient pas tenues de déployer de manière rigide un type particulier de réduction du temps de travail ou la semaine de quatre jours. Elles pouvaient adhérer tant qu'elles maintenaient le salaire à 100 % et offraient aux employés une réduction « significative » du temps de travail. Résistant à l'idée qu'une politique de la semaine de quatre jours doit être de « taille unique », chaque entreprise a conçu une politique adaptée à son secteur d'activité, ses défis organisationnels, ses structures départementales et sa culture de travail.

Voici comment les organisations qui ont participé se sont adaptées :

Arrêt au cinquième jour

L'entreprise arrête ses activités un jour supplémentaire par semaine. C'était un choix populaire dans les entreprises où la collaboration du personnel est plus importante que la couverture de cinq jours.

Exemple : un studio de jeux vidéo a opté pour un arrêt au cinquième jour de la semaine, car il était important que le personnel soit présent en même temps pour la collaboration. Après avoir interrogé le personnel sur les préférences, le studio a décidé de suspendre le travail pour tout le monde le vendredi.

L'alternance

Le personnel prend des jours de congé en alternance : par exemple, le personnel peut être divisé en deux équipes, une équipe prenant le lundi comme jour de repos et l'autre le vendredi comme jour de repos. Ainsi, les bureaux ne seraient pas vides le vendredi. C'était un choix populaire dans les entreprises où une couverture de cinq jours était importante.

Exemple : une agence de marketing numérique a organisé ses jours de congé en alternance à l'aide d'un système de « jumelage ». Les membres du personnel s'associent à un partenaire qui possède des connaissances et des compétences similaires. Les associés alternent leurs jours de repos, afin d'assurer une couverture de cinq jours des fonctions clefs.

Décentralisé

Différents départements fonctionnent selon des modèles de travail différents, ce qui peut entraîner un mélange des deux modèles ci-dessus. Cela peut également inclure d'autres dispositions, telles que certains membres du personnel travaillant l'équivalent de quatre jours sur cinq jours ouvrables plus courts. Un modèle décentralisé
a été choisi dans des entreprises dont les services avaient des fonctions et des enjeux très contrastés.

Exemple : une association de logement comprenait des départements spécialisés dans tous les domaines, de l'administration à la sensibilisation de la communauté et à la réparation des bâtiments. Chaque département a été invité à prendre l'initiative de concevoir un modèle de semaine de quatre jours adapté à ses propres besoins.

Annualisé

Le personnel travaille une semaine de travail moyenne de 32 heures, calculée sur le barème d'une année.

Exemple : un restaurant dont l'activité est fortement saisonnière a choisi de piloter une semaine annualisée de quatre jours, avec des heures d'ouverture plus longues en été compensées par des heures d'ouverture plus courtes en hiver.

Conditionnelle

Le droit du personnel à la semaine de quatre jours est lié à un suivi continu des performances. Les cadres supérieurs de l'entreprise peuvent décider de suspendre temporairement la semaine de quatre jours pour certains services ou individus, s'il est prouvé que le personnel n'atteint pas les objectifs de performance convenus. Cela peut conduire à des situations inégales où certains membres du personnel/services continuent de travailler cinq jours sur des périodes de temps.

Exemple : une entreprise adoptant un modèle décentralisé exigeait que chaque département s'accorde sur un ensemble d'indicateurs de performance clefs à respecter, afin de conserver une semaine de quatre jours. Cela signifiait que certains départements et individus sont entrés dans le projet pilote plus tard que d'autres, et certains ont été suspendus de la semaine de quatre jours pendant la période pilote de 6 mois.

Source : entretien du commissaire européen à l'Emploi avec Lusa

Et vous ?

En tant que professionnel de l'informatique, êtes-vous pour ou contre la semaine de quatre jours ? Dans quelle mesure ?
Seriez-vous prêt à travailler quatre jours par semaine ?
Quels sont les secteurs qui pourraient bénéficier de la semaine de quatre jours ?
L'Europe devrait-elle, selon vous, harmoniser la semaine de travail ? Pourquoi ?
Quelle structure modulaire de la semaine correspondrait le mieux à votre entreprise (arrêt des activités au cinquième jour, alternance, décentralisée, etc.) ?

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Avatar de binarygirl
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 26/06/2023 à 19:38
Citation Envoyé par Madmac Voir le message
Les climatologues ne peuvent prédire la température de la semaine prochaine, mais tu trouve crédible les prédictions pour le prochain centenaire.
On croirait entendre Trump, vous ne comprenez pas la différence entre la météo ou le climat, ou vous trollez.
La climatologie porte sur des analyses statistiques, des tendances lourdes à long terme, et de fait les prévisions pessimistes sont déjà dépassées.

Je rappelle que ça fait des décennies qu'on suit l'évolution du climat, des données comme l'élévation de la température de l'eau ou la quantité de CO2 dans l'atmosphère sont des éléments qui sont mesurables et qui sont mesurés, et validés par le recul de plusieurs décennies.

C'est un peu désespérant de lire ça, surtout quand les effets deviennent palpables pour tout un chacun (incendies, sécheresse historique, températures records à répétition).
Mais c'est compréhensible, on se raccrochera à n'importe quelle excuse pour ne pas voir les choses en face.
7  0 
Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 23/06/2023 à 8:24
Evidemment, on trouvera toujours sur le WEB des guignols prêts à contredire en quelques secondes et sans le moindre fondement ce que les sommités scientifiques étudient et démontrent depuis des années.
Et on trouvera toujours sur les réseaux d'autres guignols sans scrupules avides de propager cette désinformation.

Tous les climatologues du monde nous le disent depuis 30 ans : le changement climatique est inéluctable et nous sommes déjà dedans.

Madmac, ce n'est pas parce que vous répétez sans cesse les mêmes mensonges que vous finirez par nous convaincre, on n'est pas sur tik tok ici, le public a plus de 10 ans
5  0 
Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 22/06/2023 à 15:55
Citation Envoyé par Madmac Voir le message
Dans ces conditions, cette fixation à combattre le changement climatique est complètement farfelue. On inquiète les gens avec quelque chose qui pourrait possiblement avoir un impact dans 500 ans. Alors qui l'humanité a un risque élevé d'être éteinte dans 200 ans. Et à moins un changement de la culture industrielle, cela devient une quasi-certitude.
Il y avait longtemps qu'on n'avait pas eu droit à l'avis d'un expert auto proclamé qui, droit dans ses bottes, contredit les résultats des travaux de centaines de chercheurs internationaux qui collaborent depuis tant d'années aux rapports du GIEC.
Rien que pour ce scoop, ça valait le coup de se connecter aujourd'hui sur le forum, merci Madmac pour cet avis éclairé
3  0 
Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 23/06/2023 à 9:10
Citation Envoyé par escartefigue Voir le message

Tous les climatologues du monde nous le disent depuis 30 ans : le changement climatique est inéluctable et nous sommes déjà dedans.
exactement !
Moi ce qui me gene c'est l'opportunisme politique autour de ca.
Tous est bon au nom de l'écologie pour créer des taxes et impôts et restreindre la liberté des individu.

Finalement toute les lois liberticides "pour le climat" qu'on impose aux européens n'ont aucun impact.
Le rejet de co2 de la france sur 1 années c'est même pas 6 mois de croissance de co2 en chine et en inde. Oui de croissance, la chine et l'inde augmente ces rejets de c02 plus vite que ce que nous nous rejetons en 1 années.
eux leurs but c'est de nourrir leurs peuples et de les sortir de la misère d'ou les centrale a charbon, les usines etc.
Ici en Europe on impose la voiture électrique hors de prix, avec bientôt une taxe kilométrique pas dessus, on empêche de louer un appartement pas cher avec un dpe pourrit, on empeche de se chauffer au fioul , au bois (pas cher le bois pourtant...)
bientôt une taxe carbone pour tous le monde, des taxes sur le voyage en avion...etc.

On connait une grave crise économique, une énorme inflation et on matraque les pauvres citoyens de taxe pour rien au final.
Les chinois et les indiens eux nous dépassent désormais technologiquement, on perds tous nos leadership, sur la voiture thermique par exemple l’Europe champion du monde face à la voiture électrique ou les chinois ont déjà gagné la guerre.

Le réchauffement climatique est inéluctable, vouloir lutter contre c'est s'appauvrir et devenir le futur esclave de la chine et de l'inde.

On ferait mieux plutôt de s'adapter. Planter du sorgho plutôt que du mais, stocker davantage l'eau douce plutôt que de la laisser filer dans la mer, On fait chier ceux qui ont des piscines, mais mettre de simple toilette sèche comme en suède réduirais de 1/3 la consommation d'eau potable des ménages et en plus ferais d"es économie (j'ai ça chez moi)
remplacer le pq par un jet d'eau pareil, des économies d'eau et d'argent

l'écologie en France et en Europe c'est jeter l'ancien pour consommer/acheter vert du neuf et augmenter les taxes et impôts.
3  0 
Avatar de walfrat
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 16/06/2023 à 15:20

Il considère que « le plus gros problème [dans l’Union européenne] n’est pas tant le chômage » mais plutôt la pénurie de main-d’œuvre. « De nombreux secteurs cherchent désespérément des employés et ne peuvent les trouver parce que les gens ne veulent pas y travailler ou n’ont pas les bonnes compétences », affirme-t-il. « Ils doivent devenir plus attractifs », selon le Luxembourgeois, qui souligne que « c’est quelque chose qui avance progressivement (…) parce que les nouvelles générations ont une certaine vision de l’équilibre entre le travail et la vie personnelle ». Il prévient toutefois qu’il « n’y a pas de position commune » au sein de l’UE sur cette question.
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Non je suis désolé, mon cerveau il comprend pas. Mon cerveau il comprend ça :
  • Diminuer le nombre d'heure travaillé, va potentiellement augmenter le nombre d'employés qu'a besoin la boîte déjà "en pénurie de main d'oeuvre"
  • Les gens qui ne veulent pas travailler dans certaines entreprises sont facilement à 90%+ des gens qui ne la choisissent pas pour d'autres raisons que ne peut satisfaire le passage à la semaine de 4 jours.


Bref y'a des morceaux d'éléments auxquels j'adhère mais leurs agencements me paraît très douteux.

Je n'ai pas regardé la vidéo, c'est donc peut être le résumé de l'article qui est en cause.
2  0 
Avatar de weed
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 19/06/2023 à 8:31
Citation Envoyé par Madmac Voir le message
La révolution est inévitable, l'effondrement démographique est une réalité. Cela serait un bon début, mais sans une réforme des lois sur le divorce, beaucoup d'hommes vont continuer à vivre d'emploi à temps partiel. En général, les hommes sont moins dépensiers.
Il est certain que l'on ne peut avoir une démographie qui monte à l'infini, avec toujours plus de retraite à payer sur le long terme avec la problématique de trouver de l'équilibre du ratio actif/non actif. Si plus d'actif un jour, plus d'inactif plus tard ....

Mais sinon je ne vois pas trop le rapport avec les divorces et les hommes. Pour rappel, il est toujours possible de faire un contrat de séparation des biens.
Il me semblait que les hommes au contraire travaillait en majorité à temps plein.
2  0 
Avatar de AaâÂäÄàAaâÂäÄàAaâÂäÄ
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 26/06/2023 à 21:04
Citation Envoyé par binarygirl Voir le message
C'est un peu désespérant de lire ça, surtout quand les effets deviennent palpables pour tout un chacun (incendies, sécheresse historique, températures records à répétition).
Mais c'est compréhensible, on se raccrochera à n'importe quelle excuse pour ne pas voir les choses en face.
Oui d'autant plus pour un Québécois qui vit sous le smog depuis quelques semaines à cause de la centaine de feux de forêt dans la province.
J'imagine malheureusement qu'il existe une explication alternative débile pour justifier ça au lieu du réchauffement climatique...
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Avatar de binarygirl
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 26/06/2023 à 21:52
2  0 
Avatar de escartefigue
Modérateur https://www.developpez.com
Le 27/06/2023 à 8:24
Citation Envoyé par binarygirl Voir le message
On croirait entendre Trump, vous ne comprenez pas la différence entre la météo ou le climat, ou vous trollez.
La climatologie porte sur des analyses statistiques, des tendances lourdes à long terme, et de fait les prévisions pessimistes sont déjà dépassées.
Evidemment, Madmac est un fervent supporter de Trump, comme lui, il répète à l'envie les mensonges les plus grossiers, sur le climat comme sur les vaccins, et méprise les travaux de la communauté scientifique.

Citation Envoyé par binarygirl Voir le message

C'est un peu désespérant de lire ça, surtout quand les effets deviennent palpables pour tout un chacun (incendies, sécheresse historique, températures records à répétition).
Mais c'est compréhensible, on se raccrochera à n'importe quelle excuse pour ne pas voir les choses en face.
Un peu ? C'est un euphémisme !
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Avatar de maxtal
Membre actif https://www.developpez.com
Le 16/06/2023 à 11:27
Et on fait comment quand on a une charge de travail déja supérieure au contrat ?
Genre des plannings avec 5 jours de dev dont 3 demi journées de réunions en 37h (théoriques)
J'aime l'idée mais il faut change rles mentalité, et ça c'est mal barré.
Y'a encore des boites dans l'industrie où même en bureau t'as pas le droit de mettre un short pour pas qu'il y'ait d'inégalité avec les ouvriers qui doivent bosser en tenue.

J'doute de voir ça avant ma retraite, si elle arrive, dans 35 ans peut être
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