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Emploi informatique 2022 : les tendances et les effets de mode

Le , par Anomaly

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8  1 
Les offres d'emploi sont une grande source d'informations sur le marché du travail. Outre les langages, les bases de données et les salaires, elles donnent également des indices sur les tendances du moment. Par exemple, des technologies sont parfois à la mode, mode qui peut finir par passer. Parfois, ce sont même de simples noms qu'on donne à des choses qui existaient déjà, mais la mode « décide » qu'un nouveau terme dédié serait mieux. Mais le plus souvent, il s'agit des besoins qui évoluent, en fonction des nouvelles technologies, ou des événements extérieurs, tels que des pandémies et indirectement les nouvelles méthodes de travail, notamment le recours au télétravail nettement plus massif qu'auparavant. Cette étude se situe deux ans après le démarrage d'une pandémie qu'il est inutile de présenter, et ses conséquences sur le marché du travail.

C'est le but de cette étude, basée sur les offres du Portail Emploi de 2013 à 2022 et découvrir les tendances et leur évolution. Commençons par voir les tendances principales avec les termes à la mode les plus souvent rencontrés, entre 2013 et 2022 :


Les six termes choisis ici sont connus de presque tout le monde, plus ou moins parfaitement bien entendu en fonction des connaissances techniques de votre interlocuteur.

L'évolution ici cependant semble se conformer aux tendances qu'on peut observer depuis d'autres sources que les offres d'emploi, notamment les actualités informatique.

Le Cloud est un terme qui n'était évoqué que rarement dans les offres d'emploi avant 2017, mais a connu une montée spectaculaire cette année-là. Un deuxième pic, au même niveau que 2017, s'observe également en 2020, coïncidant avec un besoin élevé durant les périodes de confinement, mais aussi au-delà, ce qui montre que le Cloud reste à la mode, mais ça, on le savait déjà via d'autres sources.

Le Big Data semblait être originellement promis à un brillant avenir, étant donné la masse d'informations que les réseaux sociaux brassent, et de manière générale, tout ce qui peut être présent sur Internet. Mais la croissance s'est stoppée en 2019, et en chute libre en 2021. En effet, depuis le RGPD d'un côté, le scandale Cambridge Analytica d'autre part et de manière générale une défiance qui grandit chez les internautes, le Big Data est peut-être vu plus comme une nuisance ou une sorte d'ennuis qu'une force. Dernièrement, Google Analytics, énorme source d'aspiration de données, va même changer son code pour collecter beaucoup moins d'informations. Oui clairement, le Big Data, bien que toujours utile, est passé de mode par la force des choses.

Le terme Dev Ops, terme désignant, grosso-modo, un informaticien maîtrisant toute la chaîne de ses applications, était un terme presque inconnu en 2013, et a connu une croissance fulgurante. Si sa croissance a diminué de nos jours, il s'agit clairement d'un nouveau métier toujours en vogue.

Le développement Mobile, numéro 1 en 2013 et autrefois très porteur, est en baisse continue depuis. Autrefois, la mode était dans l'application mobile pour tout est n'importe quoi. Force est de constater que l'application mobile, bien que toujours utile, n'est plus nécessairement incontournable et que d'autres approches sont privilégiées.

Oubli impardonnable des précédentes études du même type, Agile a été ajouté aux tendances cette année. L'agilité n'est pas un terme récent, il a commencé à être conceptualisé en 1991, par opposition au modèle de développement classique des années 80 du "Cycle en V". On peut constater une montée de l'agilité depuis 2016, jusqu'à un pic en 2020. Depuis, cela a baissé mais l'agilité reste plus que jamais d'actualité comme modèle de développement.


Au niveau des tendances sur les termes plus spécialisés, on peut faire quelques constatations intéressantes.

Le développement embarqué a toujours existé. Il s'agit d'une branche très importante du développement informatique spécialisé. Numéro 1 en 2013, sa suprématie dans les tendances spécialisées a été un temps menacée par des notions modernes plus à la mode, mais depuis 2021, la remontée est spectaculaire.

À propos de ces fameuses tendances à la mode, on trouve notamment le Blockchain. Technologie inventée dans le cadre de la cryptomonnaie Bitcoin, beaucoup d'entreprises ont essayé d'y trouver une application concrète de cette technologie en-dehors du cadre des cryptomonnaies. Las, chercher une utilité, et donc un besoin, pour une technologie existante semble être une manière contre productive de raisonner. En ajoutant à cela les considérations environnementales et la raréfaction des sources d'énergies, il n'est pas étonnant de voir sa demande en nette baisse après un pic en 2020.

Deux autres termes ont été très à la mode ces dernières années, il s'agit de l'Intelligence artificielle et du Deep learning (apprentissage profond). Plus concrets que la blockchain, ces solutions techniques tendent d'être proposées pour résoudre un large éventail de problèmes logistiques. Le Deep Learning, bien qu'étant à la base de l'I.A. actuelle, a totalement disparu des radars des offres d'emploi. L'I.A. elle-même est en légère progression, mais on est ici dans une période où on ne parlait pas encore autant de ChatGPT. Gageons que l'année prochaine, il y aura des changements à ce niveau.

La Data Science, fortement associée au Big Data, a connu un très nec pic en 2019, et depuis connaît une chute importante. Les raisons sont probablement les mêmes que pour le Big Data : Cambridge Analytica, le RGPD et la prise de conscience d'une partie des internautes.

Maintenant, intéressons-nous aux tendances des termes spécialisées du développement Web.


En 2013, on parlait couramment de Développeur Web, qui était le terme à la mode à l'époque, numéro 1, éclipsant les anciens termes de Webmaster et Webdesigner. Mais déjà à l'époque, on savait que certaines personnes étaient plus douées dans le traitement serveur, le fameux Back End, alors que d'autres excellaient plutôt dans l'apparence et le traitement côté client, le Front End. Le terme de Full Stack était à ce moment-là inexistant.

De nos jours, tout a bien changé. Si Front End et Back End sont toujours très demandés, respectivement troisième et deuxième dans la demande, le terme de Full Stack, désignant de manière précise les développeurs maîtrisant les deux fronts, est le terme nettement majoritaire, et ça depuis 2019. Si Développeur Web est encore utilisé, à une solide quatrième place, ce terme, imprécis sur les compétences actuellement demandées, est en chute libre. Enfin, Webmaster et Webdesigner sont des termes passés de mode, devenus, for logiquement, parfaitement inexistants.

Toujours dans le domaine des technologies Web, nous avons décidé de présenter, pour la première fois dans ce type d'étude, un tout nouveau graphique représentant l'évolution des framework Javascript, utilisés dans la grande majorité des projets Web, quel que soit les technologies serveurs utilisées.


Il n'est pas utile de présenter jQuery, le vénérable ancêtre. Sa baisse est en effet attendue suite à l'amélioration fulgurante du support JavaScript dans les différents navigateurs, mais il semble bien qu'il n'est pas décidé à disparaître pour autant.

AngularJS est la première version du framework Angular. Après un pic en 2016, il est maintenant moins demandé que jQuery. Angular tout court, est la nouvelle version du framework basé sur TypeScript. Il a connu son pic en 2020 et présente toujours une excellente santé. On peut le consacrer numéro 1 des frameworks Javascript, et ça depuis 2018.

React est un autre framework, apparu en 2015, et en très bonne forme. Il est numéro 2 des frameworks JavaScript depuis 2019. VueJS est plus récent, et n'apparaît qu'en 2017, mais se retrouve bien plus populaire qu'ExtJS, le framework orienté gestion de Sencha, qui est clairement peu demandé et dont la demande s'atténue au fur et à mesure.

Intéressons-nous ensuite aux tendances sur les demandes en système d'exploitation.


Dans les demandes explicites en système d'exploitation, Linux est le numéro 1 sur l'ensemble de la période, même si Windows, éternel numéro 2, a failli lui voler la place en 2019. Il ne faut pas forcément y voir une domination du système du manchot, mais probablement plus une connaissance supposée de Windows amenant moins de mention explicite du système, même si cette supposée connaissance "innée" doit être de moins en moins vraie, du moins chez l'utilisateur lambda, avec la généralisation des appareils mobiles comme les téléphones, les tablettes et Chromebook, où Windows est la plupart du temps absent. Bien entendu, la situation n'est pas la même chez un professionnel de l'IT, travaillant sur ordinateur.

Enfin, nous vous proposons d'examiner le détail de l'évolution du télétravail, qui a toujours existé, mais a explosé durant la pandémie.


Le diagramme d'évolution du télétravail est très intéressant. Il nous montre trois périodes très distinctes. D'abord de 2013 à 2016, le télétravail, bien qu'existant, était véritablement une méthode de travail de niche. On ne pouvait pas concevoir un poste sans présence dans un bureau ou un Open Space.

À partir de 2017, le télétravail commence à devenir une méthode de travail mentionnée dans les offres d'emploi. Cela reste néanmoins l'exception plutôt que la norme, mais le changement est significatif.

Sans grande surprise, l'année 2020 a été la consécration du télétravail, y compris au niveau des annonces d'emploi, avec un repli pour 2021, avec le "retour au bureau", mais le télétravail est maintenant ancré dans les mœurs et aucun informaticien ne peut prétendre ne jamais en avoir entendu parler maintenant. Il est très intéressant de constater qu'en 2022, le télétravail a connu un nouveau léger regain d'intérêt.

L'autre résultat intéressant qui ressort de cette étude est que le télétravail dit "complet", c'est-à-dire sans aucune présence au bureau, est non seulement très minoritaire, mais il est resté stable au fur et à mesure des années. Il n'y a pas d'effet "Coronavirus" sur cette méthode de travail et qui existait bien avant son apparition et n'a pas été affectée par les confinements.

Retrouvez aussi l'étude langage 2022, l'étude SGBD 2022.

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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 03/06/2023 à 7:30
Bref, hormis les DSI poussiéreuses, je me demande bien qui utilisent encore windows
90% des entreprises et des particuliers. Mais je pourrais dire la même chose pour Linux avec l'usage des smartphones, et le fait que la plupart des serveurs sur Internet sont sur Linux.

Je rajouterais qu'on peut utiliser de l'opensource sur Windows.
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Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 01/06/2023 à 0:06
Oui, c'est sûr que l'engouement pour la Blockchain hors des cryptomonnaies a vraiment de quoi surprendre. Dans la plupart des cas, une authentification HTTPS permet aux entités de s'authentifier ce qui suffit à la sécurité. Et si cela ne suffit pas, une bête signature électronique permet à une entité de laisser une trace qui l' "engage" (lors d'un ordre de vente ou autre). Inutile de faire compliqué.

Je note que le framework le plus utilisé (Angular) est basé sur TypeScript et non JavaScript ce qui me semble un heureux choix pour des grands projets où il est utile qu'un compilateur trouve des erreurs bêtes plutôt que laisser le programmeur les trouver en debugguant.

On trouvera plusieurs exemples réalisés avec des framework ici (mais aussi des bibliothèques GUI/desktop) : https://7guis.github.io/7guis/implementations (les cas d'usages 7guis ont servi de cas d'usage pour une thèse sur les framework de haut niveau).

Pour Linux, oui... côté serveur c'est une référence, et avec les containeurs (Kubernetes...), cela risque de devenir encore plus le cas. Donc un peu plus que 2 barbus... (d'ailleurs, en te connectant ici, tu utilises Linux sans le savoir, car a priori, Developpez.net tourne sur Linux Debian)
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Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 03/06/2023 à 13:55
Côté desktop, il y a pas mal de références qui nécessitent Windows (ou Mac). La suite Adobe pour les créatifs, Cubase/ProTools + instruments virtuels (Native Instruments, VSL...) côté MAO. J'ai sur mon PC MS Office et LibreOffice... il y a certaines choses importantes que je ne peux faire qu'avec Excel (PowerQuery). D'autres dépendent d'Autocad...

Du coup, je ne pense pas que le desktop passera rapidement sous Linux. De plus en entreprise, Active Directory permet d'offrir un annuaire d'authentification assez facile à déployer, redondant (multimaîtres), et les Windows Workstation cachent nativement les éléments d'authentification (indispensable pour des PC portables en itinérance). (Le cache nscd ne cache pas /etc/shadow... il faudrait trouver autre chose...)

Bref, selon les cas d'usages, il y a pas mal de freins à ceux qui souhaitent passer 100% sous Linux côté desktop. (J'ai longtemps eu sur mon PC FreeBSD ou Linux... maintenant, c'est plutôt Windows à cause d'applications clés). Mais le déplacement d'applications vers le navigateur tend à rendre l'OS desktop moins important. Pour développer côté serveur, Linux est une plateforme toute indiquée. (Même l'éditeur VSCode de Microsoft tourne sur Linux !)
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Avatar de GLDavid
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 05/06/2023 à 8:14
Citation Envoyé par destroyedlolo Voir le message
Bref, hormis les DSI poussiéreuses, je me demande bien qui utilisent encore windows
Bonjour

Dans les entreprises soumises à forte pression règlementaire comme les sociétés pharmas ou biotech, les serveurs sont obligatoirement des Windows Server.
Pourquoi ? Parce que tout simplement organisme de règlementation (FDA par exemple) perçoivent avec un meilleur oeil une architecture avec des OS reconnus et mis à jour. Windows en fait parti.
Et ce ne sont pas des DSI poussièreuses ! Loin de là, elles sont toujours amener à se mettre à jour et l'obsolescence est un problème pour elles.

@++
3  0 
Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 01/06/2023 à 6:32
Dans la plupart des cas, une authentification HTTPS permet aux entités de s'authentifier ce qui suffit à la sécurité. Et si cela ne suffit pas, une bête signature électronique permet à une entité de laisser une trace qui l' "engage"
Sauf que la blockchain va plus loin et va permettre d'authentifier un historique d'échange. Pour la puissance consommée, c'est surtout dans le cas du minage de cryptomonnaie du au fait que les mineurs sont en concurrence, c'est le premier réalisant le calcul nécessaire qui est payé. Il y a donc un gaspillage de ressources à cause de cela. Dans le cas d'une autre utilisation ça ne sera pas forcément le cas. le principe de blockchain peut donc servir à d'autres choses.
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Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 02/06/2023 à 13:27
Citation Envoyé par chrtophe Voir le message
nécessaire je ne sais pas, utile oui pour la traçabilité avec une garantie d'infalsification pour notamment le notariat, la traçabilité alimentaire, le domaine bancaire (classique, pas cryptomonnaies ou voir plus tard monnaies ayant court légal)
Pour la garantie de traçabilité, on peut se contenter de la signature électronique pour les certificats de conformité, mais aussi et surtout pour les preuves de certification, ou d'assermentation des acteurs. Bref, pas besoin d'une bloc-chain pour prouver l'existence et l'intégrité d'une trace.

Le seul intérêt de la bloc-chain est plutôt pour prouver l'absence d'une trace. Par exemple, si la signature électronique suffit à prouver que j'ai acheté une maison, la bloc-chain permettrait aussi de prouver que je ne l'ai pas déjà vendu. On peut faire sans avec des registres centralisés (c'est le cas pour le suivi de mon compte bancaire par exemple)... mais il faut alors faire confiance à un acteur (ex: l'état, la banque, etc.), ce qui était exclut par les concepteurs de la bloc-chain.
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Avatar de gzii69
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 01/06/2023 à 19:28
@Fleur en plastique
Linux est peut-être en bonne place parce que la plupart des serveurs, en particulier pour internet, tournent sous linux, non ?
(bon je vois que c'est déjà dit)

(sinon oui je suis un vieux barbu )
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Avatar de chrtophe
Responsable Systèmes https://www.developpez.com
Le 02/06/2023 à 6:58
nécessaire je ne sais pas, utile oui pour la traçabilité avec une garantie d'infalsification pour notamment le notariat, la traçabilité alimentaire, le domaine bancaire (classique, pas cryptomonnaies ou voir plus tard monnaies ayant court légal)
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Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 05/06/2023 à 21:18
Citation Envoyé par chrtophe Voir le message

L'AD n'est pas la seule solution existante, mais je suis d'accord c'est facile à déployer par rapport à LDAP par exemple, et les GPO permettent pleins de choses. C'est aussi la source de problème avec les outils malveillants permettant sa compromission.
Pour fédérer des postes de travail qui peuvent être en itinérance, je ne connais pas d'autres solutions que Windows Workstation et son cache couplé à Active Directory.

Et avec un annuaire LDAP (ex: OpenLDAP), c'est moins intégré, (il faut trouver par ailleurs une interface de saisie, gérer les uid des utilisateurs afin de garantir l'unicité...), et je ne suis pas sûr qu'il soit facile de substituer un AD par un autre couple LDAP/Kerberos.

Mais effectivement, la solution dominante en entreprise (AD) et gérant la plupart des droits est une cible de choix pour les logiciels malveillants. Mais d'autres solutions ne sont pas exemptes de défauts de sécurité : https://www.cvedetails.com/vulnerabi.../Openldap.html https://www.cvedetails.com/vulnerabi...-Keycloak.html
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Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 06/06/2023 à 18:22
@GLDavid. Je viens de discuter avec un DSI du domaine médical. Ils ont beaucoup de technologies imposées par les fournisseurs : ils choisissent d’abord un IRM, un scanner, un séquenceur, etc. Et subissent les choix informatiques associés. Le DSI en question mettait des VM à disposition des fournisseurs, à leur charge de les maintenir à distance. Une micro segmentation limite les contagions en cas d’attaque.
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