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Les salariés de la tech sont démoralisés face aux vagues de licenciements et à l'augmentation des heures de travail qu'elles provoquent
Ils ont une liste de responsabilités plus longue pour le même salaire

Le , par Stéphane le calme

16PARTAGES

12  0 
Ces derniers mois, le moral s’est effondré dans les rangs de la tech. Les géants du secteur (Google, Meta, Amazon, Microsoft…) ont lancé d’importantes vagues de réductions d’effectifs, semant l’inquiétude chez les employés survivants. Anciennement choyés par de généreux avantages, ces derniers se retrouvent à travailler plus et à craindre de figurer sur la prochaine liste de licenciement. Les chiffres illustrent l’ampleur du phénomène. Selon le site Layoffs.fyi, plus de 150 000 postes ont déjà été supprimés dans la tech en 2024, répartis sur près de 550 entreprises. La saignée se poursuit en 2025, avec plus de 22 000 emplois coupés dès le premier trimestre (dont 16 084 en février).

Contexte

Il n'y a pas si longtemps, travailler dans le secteur de la technologie aux États-Unis était synonyme de sécurité de l'emploi, d'avantages extravagants et d'une éthique de l'apport de toute sa personne au bureau, rare dans d'autres secteurs.

Aujourd'hui, un poste dans la technologie ressemble à un emploi ordinaire : les travailleurs doivent faire face à la peur constante des licenciements, à des horaires plus longs et à une liste de responsabilités toujours plus longue pour le même salaire. C'est un revirement brutal pour un groupe qui n'a guère connu que des périodes de prospérité, lorsque la technologie définissait les tendances en matière de culture d'entreprise.

Des salariés démoralisés

Il y a quelques années, la guerre des talents technologiques était si féroce que, dans certains cas notoires, des personnes étaient embauchées pour ne pratiquement rien faire. Aujourd'hui, les employés se retrouvent à faire le travail de plusieurs collègues licenciés. Certains ont perdu leur emploi pour être réembauchés à des postes qui ne donnent pas droit à des augmentations de salaire ou à des primes en actions. Autrefois, changer d'emploi était un moyen sûr d'obtenir une augmentation ; aujourd'hui, demander plus d'argent peut entraîner le retrait d'une offre d'emploi.

Le changement dans le secteur de la technologie s'est fait lentement. Pendant des années, la demande de travailleurs a dépassé l'offre, une dynamique qui a atteint son paroxysme lors de la pandémie de Covid-19. De grandes entreprises technologiques comme Meta et Salesforce ont admis qu'elles avaient embauché trop d'employés. Le ralentissement qui s'en est suivi a entraîné des licenciements massifs à partir de 2022.

Aux États-Unis comme ailleurs, tous les pans de la high-tech sont touchés. En avril 2024, Alphabet (Google) a confirmé des coupes transversales sans préciser le nombre exact, justifiant l’opération comme nécessaire pour « devenir plus efficaces, supprimer des strates hiérarchiques et aligner [les] ressources sur [les] plus grandes priorités produit »​. De même, Meta (Facebook) a annoncé début 2025 une nouvelle salve de licenciements, ciblant 5 % de ses effectifs jugés « non performants ». Mark Zuckerberg a expliqué dans un mémo interne que « cette année va être intense » et qu’il fallait « rehausser l’exigence en matière de performance et laisser partir plus rapidement les moins performants »​.

Amazon n’est pas en reste : la firme de Jeff Bezos avait déjà annoncé fin 2022 début 2023 la suppression d’environ 18 000 postes (soit 6 % de ses effectifs corporate)​, principalement dans l’e-commerce et les ressources humaines, puis poursuivi en 2024 avec des coupes supplémentaires dans ses divisions Prime Video et cloud. Microsoft a elle aussi réduit la voilure, évoquant quelque 10 000 suppressions d’emplois début 2023. D’autres acteurs majeurs (par exemple IBM, Salesforce, Cisco ou des start-up soutenues par le capital‑risque) ont emboîté le pas, ramenant à la baisse l’optimisme né de la frénésie de l’IA et du cloud.

« Il est plus difficile d'avoir l'impression de travailler durablement dans ces entreprises », explique Andre Nader, qui a travaillé neuf ans chez Meta et qui conseille aujourd'hui les employés de grandes entreprises technologiques sur leurs finances. Jusqu'en 2022, dit-il, « on se sentait intouchable ».


Une charge de travail accrue

Sur le terrain, les conséquences sur le personnel sont sévères. Les salariés restant doivent souvent faire face à une charge de travail accrue, cherchant à prouver leur indispensable. D’après Business Insider, la pression est telle que le burnout est « devenu courant » pour de nombreux employés. Un ancien développeur, après avoir quitté l’entreprise en raison de son épuisement, confie : « On a l’impression que si on n’atteint pas un objectif, même mouvant, on est dans la ligne de mire… Pour moi, c’était se sentir un échec »​.

Aux États-Unis, Amazon a par exemple imposé à ses employés e-commerce d’être physiquement au bureau cinq jours par semaine, pour au moins « huit heures par jour », aggravant le sentiment de pression et de surveillance constante. Même dans les plus petites structures, le ton a changé. Certains fondateurs de start-up n’hésitent plus à presser leurs troupes : selon Natan Fisher, patron d’un cabinet de recrutement tech, des managers ont ainsi lancé à leurs équipes : « Si vous n’êtes pas à 100 % avec nous, on peut vous proposer un départ indemnisé, mais on ne peut pas ralentir ». La bienveillance et les mythiques snacks gratuits semblent aujourd’hui bien loin.

Une recruteuse de Meta qui avait été licenciée par l'entreprise a été réembauchée dans ses anciennes fonctions l'année dernière, mais avec un problème : Elle est désormais considérée comme une « employée à court terme ». Son contrat peut être renouvelé, mais elle n'a pas droit à des augmentations de salaire au mérite, à des promotions ou à des actions. Le recruteur indique qu'elle est responsable d'un volume de travail qui était auparavant réparti entre plusieurs personnes.

L'entreprise qualifie « d'agilité » le fait d'être chargé de ces responsabilités supplémentaires.

Kate Smith a travaillé pendant deux ans comme contractuelle chez Google, après avoir travaillé dans la finance et l'immobilier. Pendant cette période, elle affirme que sa charge de travail a considérablement augmenté et qu'il y avait moins de ressources disponibles. « Ces emplois deviennent comme tous les autres », dit-elle. Smith considérait les exigences croissantes de son travail comme un moyen d'élargir son expérience, mais elle a constaté que son point de vue n'était pas partagé par les Googlers de longue date.

« Les gens se languissaient de l'époque glorieuse », dit-elle.

Josh Bersin, un analyste des ressources humaines qui dirige sa propre société de conseil, estime que l'administration Trump et les tactiques de réduction des coûts d'Elon Musk ont renforcé la mentalité selon laquelle les entreprises peuvent faire plus avec moins.

« Toutes les entreprises auxquelles je m'adresse parlent de productivité », déclare Bersin. « Peut-être avons-nous trop de personnel. Comment pouvons-nous augmenter nos revenus par employé, et pas seulement nos revenus ? »

À mesure que les entreprises adoptent l'aplatissement organisationnel, elles réduisent les niveaux de gestion et consolident les équipes.

« J'entends parler de personnes qui ont 30 subordonnés directs », déclare David Markley, qui a passé sept ans chez Amazon et qui est aujourd'hui coach de cadres pour les employés de grandes entreprises technologiques. « Ce n'est pas parce que les entreprises n'ont pas d'argent. À bien des égards, c'est à cause de l'IA et des récits qui circulent sur la façon dont l'effondrement de l'organisation est préférable ».

Les sommes investies dans l'IA pèsent sur la trésorerie

Les entreprises de la Silicon Valley paient toujours bien, mais certains employés de longue date du secteur technologique disent ne plus reconnaître les entreprises pour lesquelles ils travaillent. Les dirigeants se concentrent davantage sur les résultats attendus par Wall Street. Le chiffre d'affaires des géants de la technologie reste élevé, mais ils consacrent des ressources à l'infrastructure coûteuse de l'IA, ce qui pèse sur les flux de trésorerie.

Les entreprises elles-mêmes n'hésitent pas à parler de ce changement de philosophie de gestion : Mark Zuckerberg, directeur général de Meta, a déclaré au podcasteur Joe Rogan qu'il...
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Avatar de fodger75
Nouveau Candidat au Club https://www.developpez.com
Le 29/04/2025 à 10:25
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
je ne cautionne pas le surmenage et le management par le stress.
mais:

On est quand même la sur des problèmes de riches.

Se plaindre de faire 40h/semaines et ne pas avoir le repas de midi gratos... le réveil est brutal pour certains
Moi je faisais ma gamelle la veille en France, et désormais je bosse 46/semaines, j'ai par contre 2j de télétravail. Je ne m'en plains pas.

Mais au bout du compte le plus important c'est le ratio travail/salaire. Il aurait été intéressant de connaitre le salaire de ces salariés par rapport à leurs valeurs moyenne sur le marché.
Si ils sont en haut, ça me semble normal de beaucoup travailler.
Je suis perso à +16000€/mois pour 46h de taff, je préfère cela a mon ancien travail en France moins stressant et mes 35h en France payé 3000€ net.

Il parait que Macron a invité les chercheurs américains a venir en France, donc venez en france faire vos 35h tranquille.
Mais faudra accepter aussi le salaire qui va avec

Je connais pleins de sud coréens et d'indiens qui viendront prendre votre place et salaire aux usa.

Bref il manque pas mal d'information sur ces salariés pour vraiment les plaindre ou pas.
Problème de riche... il va falloir relire la définition.

Tes 16 ke / mois si tu es toujours en France, c'est que tu es dans les 1% de la population et oui dans ce cas toi tu es riche.

Si tu as accepté n'importe quoi c'est ton problème, ça ne veut pas dire que les autres doivent le faire aussi et surtout au 21 ème siècle.
Tout en sachant que 90% de la richesse qu'on produit ne profite en réalité qu'à une poignée.

Hors de question de mettre sa santé en jeu, nous ne sommes pas des esclaves.

Cet article est complètement orienté et propre aux états-unis.

La France, les citoyens subissent une injustice fiscale intolérable, 80 milliards d'évasion par an.
400 Milliards d'aide public absorbés par les grands groupes sans aucun impact sur l'emploi.

L'union fait la force, c'est tout l'Europe, la France qui doit dire stop.
9  1 
Avatar de vertex.3F
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 07/05/2025 à 14:07
Citation Envoyé par fodger75 Voir le message
Problème de riche... il va falloir relire la définition.

Tes 16 ke / mois si tu es toujours en France, c'est que tu es dans les 1% de la population et oui dans ce cas toi tu es riche.

Si tu as accepté n'importe quoi c'est ton problème, ça ne veut pas dire que les autres doivent le faire aussi et surtout au 21 ème siècle.
Tout en sachant que 90% de la richesse qu'on produit ne profite en réalité qu'à une poignée.

Hors de question de mettre sa santé en jeu, nous ne sommes pas des esclaves.

Cet article est complètement orienté et propre aux états-unis.

La France, les citoyens subissent une injustice fiscale intolérable, 80 milliards d'évasion par an.
400 Milliards d'aide public absorbés par les grands groupes sans aucun impact sur l'emploi.

L'union fait la force, c'est tout l'Europe, la France qui doit dire stop.
Bonjour, je pense que je suis d'accord avec ce que tu avances.

Malheureusement aujourd hui j'ai l'impression que dans le monde ce sont les systemes économiques libéraux qui ont pris le dessus sur les autres systemes un peu plus régulés et equilibrés. Les individus comme les organisations et les états sont pris au piège de nombreuses contradictions.

Les humains doivent-ils etre au service des systemes économiques ou bien au contraire les systemes économiques ne devraient-ils pas retrouver leur finalité d'origine qui est de servir la cause humaine ?

L'humain qui désirerait un systeme économique libéral devrait aussi accepter d'être considéré par l'entreprise economique comme une simple ressource. Au meme titre qu'une machine.
Je simplifie mais je crois que je n'ai pas besoin de developper. Ni de rappeler l'intox qui consiste pour certains parasites à faire l'amalgame entre le libéralisme philosophique ( le libéralisme prône une société fondée sur la liberté d'expression des individus dans le respect du droit, du pluralisme et du libre échange des idées https://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3%A9ralisme ) et le libéralisme économique (le fameux capitalisme, jadis bénéfique mais aujourd hui défaillant et ravageur pour les ressources humaines https://fr.wikipedia.org/wiki/Lib%C3...C3%A9conomique ).
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Avatar de foetus
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 14/05/2025 à 16:03
Citation Envoyé par Gluups Voir le message
Souviens-toi qu'un président nous a dit être ennemi de la finance. Après ça, avoir les idées claires, comment dire ...
Pour ceux qui n'ont pas la référence c'est F. Hollande le mercredi ou jeudi en campagne présidentielle (février 2012) qui avait dit cela. Mais le dimanche-lundi (environ 3 - 4 jours plus tard) il était à Londres (City) pour rassurer:

En voulant rassurer les milieux financiers internationaux, via un entretien à la presse britannique, François Hollande s'est attiré les foudres du Parti de Gauche et du PC qui a dénoncé les "génuflexions" du candidat socialiste devant la City.

"La gauche a été au gouvernement pendant 15 ans au cours desquels nous avons libéralisé l'économie, ouvert les marchés à la finance et aux privatisations. Il n'y a rien à craindre", a affirmé François Hollande lundi 13 février au journal britannique "The Guardian(Nouvelle fenêtre)" dans un entretien titré "François Hollande cherche à rassurer la City" (la place financière de Londres).

Une sorte de précision apportée par François Hollande qui avait présenté, lors de son meeting du Bourget, "le monde de la finance" comme son principal adversaire.

"Il n'y a pas plus de communistes"

Dans des déclarations publiées en début de semaine dans des journaux comme The Guardian, l'International Herald Tribune et The Financial Times, le candidat socialiste à l'élection présidentielle s'est défendu de toute agressivité à l'égard du monde de l'argent et dit vouloir se rapprocher sur ce thème de la position du président américain Barack Obama.

L'élu socialiste affirme aussi que la France de 1981, date de l'arrivée au pouvoir du socialiste François Mitterrand, qui avait pris des communistes au gouvernement, n'a rien à voir avec celle de 2012, où "il n'y a plus de communistes".
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Avatar de Gazeld
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 14/05/2025 à 22:29
Citation Envoyé par Gluups Voir le message
Ah il fallait être né, dans les années 80, pour savoir de quoi je parle.

Mais je t'accorde que le concept de gauche est tout ce qu'il y a de plus relatif.

Souviens-toi qu'un président nous a dit être ennemi de la finance. Après ça, avoir les idées claires, comment dire ...
Je suis de 74... Donc justement, tu connais comme moi une gauche qui a été plus 'vraie' (au moins pendant 3 ans, pour ne parler que de ceux qui ont eu l'exercice du pouvoir). A une époque où les mesures 'mitterrandiennes' étaient tout à fait normales sous un gouvernement socialiste, là où une ligne économique semblable de nos jours est qualifiée d'extrême-gauche par les médias mainstream !

Mais bon, on s'est bien compris
Reste à savoir si on veut continuer à galvauder ce mot (ou d'autres) pour mettre tout le monde dans le même sac (et dans quel but)...
Enfin donc on ne peut pas accuser via ce mot vague sans préciser qui et l'époque (Hollande est un très bon exemple). C'est comme désigner la Chine actuelle comme communiste alors qu'elle n'en a pas grand chose en réalité.
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Avatar de dlandelle
Membre du Club https://www.developpez.com
Le 18/05/2025 à 8:04
Le mot intelligence est usurpé car le mot signifie comprendre (inter ligere).
Or la machine ne comprend strictement rien, elle mime.
En revanche elle est orientable par le prompt et elle trouve les arguments à tordre pour arriver à la conclusion voulue (boulot fait auparavant manuellement pas la franc-maçonnerie.
La guerre annoncée par macron avec le covid n'est pas terminée : 100 000 morts par an en plus que la moyenne depuis 2022 selon l'INSEE (données brutes https://www.insee.fr/fr/information/4190491).
L'IA sert de cover story à la propagande de guerre que plus aucun humain ne veut assumer, car le génocide médicalisé donne des idées de ressortir la guillotine. Et demains l'IA enverra des mobilisations pour aller sauver l'Ukraine sans armes...
2  0 
Avatar de Gluups
Membre expert https://www.developpez.com
Le 29/04/2025 à 0:56
Citation Envoyé par calvaire Voir le message
Je connais pleins de sud coréens et d'indiens qui viendront prendre votre place et salaire aux usa.
Si c'est comme ça que ça se joue il est vraiment girouette, ce mec.
Il a quand même construit un mur pour empêcher l'immigration.

Ah chez nous aussi, le jour où la Gauche a voulu nous mettre en concurrence avec la Chine, ça a fait mal.

C'est du reste surprenant de voir accepter d'augmenter le temps de travail dans un contexte de licenciement.

Si on licencie, c'est qu'il n'y a pas de travail.
1  0 
Avatar de floyer
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 29/04/2025 à 14:44
Citation Envoyé par Gluups Voir le message
Il y a un coût à la sortie.

Je ne sais pas pour les autres pays, mais je vous rappelle que chez nous, les trois causes de la nullité d'un contrat sont l'erreur, le dol et la violence.
Y a til une loi « supra nationale » qui encadre les traités. Il ne me semble pas. Par contre, c’est sûr que si on perd les inconvénients, on perd aussi les avantages.

Un exemple bien connu de contrat international rompu unilatéralement est l’emprunt russe dénoncé en 2017. No problem… (bon si la France fait le coup, elle risque d’avoir du mal à financer les déficit des années futures).
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Avatar de Gluups
Membre expert https://www.developpez.com
Le 09/05/2025 à 0:39
Effectivement, la liberté du loup dans la bergerie consiste à pouvoir égorger tout le monde comme ça lui chante.

Nous n'avons pas beaucoup prise sur le système, mais nous devrions au moins pouvoir virer sans délai des députés qui, exactement à l'instant où les promoteurs de l'intelligence artificielle nous expliquent qu'ils ont l'ambition de nous priver de salaire, nous expliquent que les retraites doivent être payées par les salaires.

Et ça, ça mérite d'être pensé, parce qu'aujourd'hui, même en faisant l'exact contraire de nous représenter, ils terminent leurs mandats.
1  0 
Avatar de Gluups
Membre expert https://www.developpez.com
Le 12/05/2025 à 16:25
Ah oui donc c'est bien ça, quand Macron sème la terreur comme depuis quelques mois avec les déséquilibrés qui tuent des pompiers, c'est pour inciter le peuple à se soulever.
1  0 
Avatar de Gluups
Membre expert https://www.developpez.com
Le 14/05/2025 à 14:34
Ah il fallait être né, dans les années 80, pour savoir de quoi je parle.

Mais je t'accorde que le concept de gauche est tout ce qu'il y a de plus relatif.

Souviens-toi qu'un président nous a dit être ennemi de la finance. Après ça, avoir les idées claires, comment dire ...
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