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« Partez !» : le directeur technique de Meta conseille aux employés de démissionner s'ils n'aiment pas les nouvelles politiques de Meta
Des ex-employés parlent de « l'entreprise technologique la plus cruelle »

Le , par Stéphane le calme

74PARTAGES

13  0 
Depuis l'élection de Donald Trump, Mark Zuckerberg a multiplié les changements pour aligner sa société avec la nouvelle administration américaine. Après avoir supprimé l'outil de vérification des faits et donné une plus grande « liberté d'expression » sur Facebook et Instagram (Meta accorde désormais à ses utilisateurs la liberté de publier un large éventail de remarques désobligeantes sur les races, les nationalités, les groupes ethniques, les orientations sexuelles et les identités de genre. Par exemple, Meta autorise spécifiquement les utilisateurs de Facebook et Instagram à qualifier les personnes LGBTQ+ de « malades mentaux »), Meta a par la suite supprimé son programme de diversité, d'équité et d'inclusion (DEI). Un revirement qui n'a pas été au goût des employés. Mais Andrew Bosworth, directeur technique de Meta, a quelque chose à leur dire : il leur a conseillé à certains employés de démissionner et « d'envisager de travailler ailleurs » s'ils pensaient que tous les membres du personnel devaient aimer les politiques de l'entreprise. Les remarques de Bosworth faisaient suite à des commentaires sur un message qu'il avait partagé le 30 janvier dans un groupe ouvert sur le forum Workplace interne de Meta.

Suite à l'élection de Donald Trump, Mark Zuckerberg a mis en œuvre plusieurs modifications pour harmoniser sa compagnie avec la nouvelle administration américaine.

Devant ces transformations radicales, les travailleurs se sont mobilisés. Certains ont fait circuler des pétitions, d'autres ont formé des groupes sur d'autres plateformes sécurisées, telles que Signal, pour échanger sur de possibles stratégies de contre-attaque.

Sur le forum interne de Meta, rassemblant près de 12 000 membres, les salariés ont exprimé leur mécontentement envers la société pour avoir mis fin aux initiatives de diversité au sein de l'entreprise et réprimé la contestation interne en procédant à de nombreux licenciements. Un employé en particulier s'est engagé à soutenir les employés qui ont révélé des informations secrètes aux médias.

À ces employés mécontents des politiques de l'entreprise, Andrew Bosworth, directeur technologique de Meta, a envoyé un message fort : soit ils s'engagent, soit ils partent. Selon un rapport de Business Insider, Bosworth a fait ces remarques dans le forum interne Workplace de Meta le 30 janvier. Le débat a pris de l'ampleur après la fuite des commentaires du PDG Mark Zuckerberg lors d'une réunion de l'ensemble des employés.

Andrew Bosworth a défendu les décisions de l'entreprise, affirmant que la fuite de discussions internes prouvait que Meta avait raison de modifier la façon dont les séances de questions et réponses étaient gérées : « Comme prévu, l'intégralité des questions-réponses d'aujourd'hui a fuité. On dirait que quelqu'un a donné l'intégralité du flux audio à un journaliste. J'ai vu toutes les réactions de colère et de tristesse concernant le changement de format et je partage un sentiment de perte à ce sujet, mais je pense que cela montre clairement que c'était la bonne décision ».

Commentant le message dans le groupe, qui compte près de 12 000 membres, un employé a écrit : « 1. l'entreprise modifie ses politiques pour cibler spécifiquement la communauté LGBTQ, 2. elle supprime ses propres programmes DEI étayés par des données, 3. la direction se rend sur un podcast d'extrême droite pour expliquer les changements au lieu de s'adresser aux employés, 4. elle limite la liberté d'expression en interne... et il y a de la surprise ? »

En réponse, Bosworth a fait remarquer que dans son message initial, il avait indiqué que ce n'était pas une surprise, en disant qu'en dehors des détails, « si votre point de vue est que "tout le monde doit aimer toutes les politiques que nous avons et que s'ils ne le font pas, il est approprié de faire fuiter des informations", alors je pense que vous devriez envisager de travailler ailleurs ».

Une autre personne a commenté en disant qu'elle était « d'accord pour dire que les fuites ne sont ni productives ni rationnelles », ajoutant : « Les employés émotifs et effrayés ne font pas de choses productives ».

Dans un autre commentaire, la même personne a déclaré : « Pointer du doigt les fuites pour expliquer pourquoi les décisions politiques de Mark ne peuvent même pas être discutées, et encore moins faire l'objet d'un appel, c'est une véritable gifle. Nous sommes tous ici parce que lorsque nous avons été embauchés, nous étions le meilleur candidat pour le poste ». La personne a ajouté que les travailleurs de Meta ne se sentaient pas respectés.

Bosworth a répondu : « Vous devriez démissionner si vous pensez cela, je le pense vraiment ». Il a également exprimé sa confusion face à l'idée que les employés étaient maltraités.

Il a ajouté : « A moins que vous ne fassiez référence aux changements de politique, auquel cas Mark a passé pas mal de temps à en parler, on dirait que vous n'êtes pas d'accord. Dans ce cas, vous pouvez partir ou être en désaccord mais travailler ».

Avant la réunion de janvier de l'entreprise, le vice-président des communications internes de Meta a annoncé aux employés, dans un message publié sur Workplace, que le géant des médias sociaux modifiait son processus de sélection des questions lors des séances de questions-réponses.

« Nous laisserons de côté les questions dont nous pensons qu'elles pourraient être improductives en cas de fuite ou les questions liées aux personnes qui ont déjà reçu une réponse », a écrit le dirigeant.

Dans d'autres commentaires, plusieurs employés de Meta ont exprimé leur inquiétude quant aux récents changements apportés à la modération du contenu. Un employé a critiqué ce qu'il a appelé le silence de la direction sur les « politiques transphobes/homophobes ». Un autre a demandé où les employés pouvaient exprimer leurs critiques si les discussions internes étaient découragées. Un troisième employé a déclaré que la situation faisait de Meta un « lieu de travail plus hostile ».


Des échanges qui sont exposés après que Meta a commencé à licencier ce qu'elle a appelé de manière controversée les « moins performants »

En janvier, Meta a annoncé qu'elle prévoyait de supprimer environ 5 % de ses effectifs en ciblant les employés les moins performants de l'entreprise, en prévision d'une année qui s'annonce « intense », selon le PDG Mark Zuckerberg. Cependant, les récentes vagues de licenciements chez Meta ont pris de court certains employés, qui affirment ne pas être des « low-performers » et se questionnent sur les critères ayant mené à leur éviction.

Cette décision de Meta fait suite à une autre mesure prise par l'entreprise en octobre 2024, dans laquelle [URL="https://emploi.developpez.com/actu/363942/Meta-a-declare-des-licenciements...
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Avatar de OrthodoxWindows
Membre expert https://www.developpez.com
Le 14/02/2025 à 20:29
Voici les premières applications de la fameuse "culture de la masculinité forte" défendu par le PDG
5  0 
Avatar de Artemus24
Expert éminent sénior https://www.developpez.com
Le 02/04/2025 à 22:11
salut à tous.

Citation Envoyé par Der§en
Sans avoir recours à l’IA, on peux parfaitement réécrire du code cobol vers d’autres langages !
Ca, c'est la théorie, mais dans la pratique, tu vas rencontrer des problèmes pour convertir des nombres.

Je ne sais pas si tu connais la représentation des nombres décimales dits condensés (COMP-3) en COBOL. C'est spécifique à COBOL et ça n'existe pas dans le langage 'C/C++'. J'ai eu jadis un problème avec la lire italienne où les montants étaient proches du maximum des 18 digits de sa représentation interne et étaient intraduisibles en langage 'C/C++' car ce langage ne le permettait pas.

Pour avoir fait beaucoup de maintenance en COBOL, il existe des sous-programmes écrits en assembleur pour résoudre des problèmes de calculs comme les taux. Je peux t'assurer qu'il y a beaucoup de spécificités propre au cobol que l'on ne peut pas convertir aussi facilement qu'on veut le croire, sans créer des problèmes qui vont engendrer des effets de bords ou encore des bugs alors que l'existent a déjà été épprouvé depuis fort longtemps.

Et je ne parle même pas des bases de données (DB2 sous IBM) ou encore du transactionnel (CICS) couplé à l'internet pour rendre plus conviviaux les terminaux sous internet. Une vrai usine à gaz ! J'ai, par le passé, fait beaucoup de migration et ce n'est pas aussi simple qu'on veut le croire.

Citation Envoyé par Fagus
Au pire, est ce si problématique de maintenir le code ?
Oui, car la maintenance coute très très chers aux entreprises et je ne parle même pas du manque de développeurs formés au COBOL, ni du métier du client. Remettre en cause un système informatique qui fonctionne parfaitement ne peut pas se faire en six mois alors qu'il a fallu plusieurs décénies pour en arriver là.

Citation Envoyé par Fagus
Les dév ça se forme,
Oui, en théorie, mais qui veut encore faire du COBOL aujourd'hui ? Peut-être des retraités car ils savent encore faire, et que la paye est intéressante. Mais un petit jeune ne sera pas intéressé à developper dans une technique de programmation qu'il ne connnait pas et ne veut pas apprendre. De loin, il préfère le WEB car il a été biberonné dès sa plus tendre enfance. Je rappelle qu'il n'existe pas de framework en COBOL où vous appelez la fonction qui va bien. Si vous avez besoin de quelque chose, vous devez la développer par vous-même. Et ces techniques ne sont plus du tout enseignés à l'école, ni d'ailleurs le COBOL.

Citation Envoyé par Fagus
et c'est sans doute préférable de manipuler des grandes quantités de calculs en cobol que dans la plupart des langages non ? surtout si on a besoin d'avoir des arrondis obéissant à des règles comptables plutôt que sur une accumulation d'imprécision du calcul flottant binaire.
Le flottant est destiné à des calculs scientifiques et non comptables où l'on a besoin d'avoir une réprésentation exacte et non approximative. Il y a des règles comptables, fiscales, financières sur les arrondis que l'on peut faire que si l'on maitrise la représentation des nombres en mémoire, ce que la plupart des langages modernes ne font plus. J'entends par là que si l'on a réellement besoin de 18 digits, on ne peut pas se permettre d'en perdre pour des problèmes d'arrondis.

Citation Envoyé par Prox_13
Et être capable de transcoder des monuments d'avant guerre en COBOL vers un langage actuel en préservant les règles de gestion et la performance du code, c'est une tâche aussi fastidieuse que complexe, qui requiert autant d'expérience que de rigueur.
Pourquoi d'avant guerre ? Le COBOL a été créé en 1959 et le premier COBOL que j'ai connu date de la version "68". Depuis, il y a eu beaucoup de progrès fait dans ce langage.

Les mainframes comme IBM fonctionnent pour des langages comme COBOL et ASSEMBLEUR IBM 370 et non sur du 'C/C++' dont les compilateurs ne doivent même pas exister sur ces machines. Il y a aussi la performance en terme de temps d'exécution que l'on ne retrouve sur des mini-ordinateurs qui sont trop lents, ni des problèmes de sécurités comme "RACF" sous IBM.

Citation Envoyé par Def44
Si l'être humain peut y arriver, aucun doute que l'IA le fera plus efficacement, et très rapidement.
Certainement pas car c'est essentiellement un problème non pas de conversion mais de faisabilité.
Il y a des astuces utilisés en COBOL qui nécessitent de repenser le code pour l'utiliser dans un nouveau langage. Il faudrait aussi comprendre ces astuces, ainsi que la façon de programmer dans les années 60. Bon courage à ceux qui vont mettre leur nez dans ce type de code.

Citation Envoyé par Jepamo
Nous ne sommes plus nombreux à connaitre le Cobol.
Il n'y a rien de complique à programmer dans ce langage mais faudrait aussi connaitre les astuces utilisées qui sont légions dans le domaine bancaire et de la finance. Je connais ce langage car je l'ai pratiqué pour des grands comptes en banque et en assurance et je peux assurer que le maitriser est autre chose que du 'C/C++'.

Citation Envoyé par Jepamo
S'ils partent dans cette optique, ils vont subir une grosse désillusion.
Il suffit de ce rendre compte des problèmes rencontrés avec "Louvois", le système informatique de l'armée française pour la paye des militaires. Ou encore celui utilisé pour le RSA où il y a fréquemment des erreurs ou des retards dans les paiements.

J'ai l'impression que ce DOGE va détruire les Etats-Unis sous le prétexte de faire des économies.

@+
5  1 
Avatar de TJ1985
Membre chevronné https://www.developpez.com
Le 02/04/2025 à 22:12
Mon premier gros mandat a été l'écriture de programmes de traduction COBOL-COBOL pour passer d'un environnent Honeywell Bull à VAX VMS. Il s'agissait aussi de passer d'une base de données réseau à une base relationnelle et donc d'adapter les requêtes en conséquence.
Nous bénéficiions de deux chefs de projets hyper-compétents, connaissant en détail les aspects métiers des applications à porter.
Malgré tout, la migration complète a pris deux ans à une équipe de sept personnes qui n'ont pas chômé.
En parallèle, une vaste équipe de jeunes ingénieurs sans connaissance métier était sensée réécrire l'ensemble des applications, en C++, Delphi, VB, Java en deux ou trois ans.
Total : après quasi-trente ans il a été possible de débrancher les systems VMS, longtemps donc après que DEC eut disparu.
Le choix le pire était encore Java, qui trimbale avec lui un énorme sac de contraintes d'organisation et une terrible dette de performances.
Le système originel tournait avec une puissance de l'ordre d'un Raspberry Pi, aujourd'hui la salle serveurs compte plus de 2000 machines...
Les prestations ont un peu augmenté, dans un domaine assez statique, la banque. Jamais pour justifier une telle inflation.
Donc, bon courage aux bénéficiaires des prestations du système actuel. Et en plus, il y a des bouts d'assembleur...
4  1 
Avatar de der§en
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 14/02/2025 à 23:06
« Masculinité forte », c’est pas un pléonasme ça ?

Ha, zut, je vient de me classer dans le camp de la « masculinité toxique »
3  1 
Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 26/02/2025 à 22:02
Elon, l'éternel adolescent à casquette, vient d'expliquer pourquoi ils ont demandé aux employés de fournir par e-mail une liste de 5 tâches effectuées la semaine dernière : c'est parce qu'il y a des faux employés et des employés décédés qui se font encore verser un salaire. Si ils sont morts, ils pourront pas répondre à leur e-mail donc ils pourront les débusquer. Le pire c'est que ça a l'air de sembler logique à pas mal de monde à en croire les commentaires.
https://youtu.be/9DLtwUFwpTY?feature=shared&t=305
Qui peut imaginer un seul instant que les RH laissent courir des virements ou que le service info ne désactive pas les comptes utilisateur ? Et quand bien même ça serait le cas, la recherche de cas ne se ferait pas en envoyant un e-mail.
Le foutage de gueule !!!!! Il pourrait au moins assumer ses actes.
2  0 
Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 20/03/2025 à 10:51
Citation Envoyé par _toma_ Voir le message
Jusqu'à maintenant j'ai réussi à ne pas me suicider mais, putain, qu'est-ce que notre époque est déprimante !
Pourtant le champs des possibles que nous offre ce monde est fantastique.
On a jamais eu autant d'opportunités dans sa vie que dans ce monde moderne.
Voyager n'importe ou, étudier et exercer n'importe quels métiers, se reconvertir, travailler n'importe ou dans le monde...

Ce monde est au contraire très excitant. Tu devrais juste sortir de chez toi et aller voir ailleurs, jusqu’à trouver un lieu et mode de vie fait pour toi.
Je connais des collègues déprimé a paris, monter leur propre boite et/ou partis au canada, en finlande, en suisse, certains retourner à la campagne devenir fermier... d'autres monter un business en ligne et partir vivre sur les plages de thailande a se taper des putes et fumer du cannabis tous les jours.

Prends l'avion, va en vacances quelques semaine en ouzbekistan vivre avec une tribut nomade, ca te changera les idées.
3  1 
Avatar de der§en
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 30/03/2025 à 0:27
Sans avoir recours à l’IA, on peux parfaitement réécrire du code cobol vers d’autres langages !

Dans les années 90, à la bourse de paris, on avait développé un convertisseur qui prenait le code cobol issus des mainframes IBM, pour le convertir en langage C pour les VAX/VMS, cela a permis de migrer des millions de lignes de code !
7  5 
Avatar de calvaire
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 31/03/2025 à 8:18
Citation Envoyé par Fagus Voir le message
Mais est-ce que c'est si intéressant que ça de convertir les bases de code de cobol, alors que ça marche et c'est performant, sachant que la conversion a un coût et des risques de régressions (il y a eu plusieurs histoires ici de migration ratée vers java avec des pertes de performance).
Alors qu'il existe des compilateurs comme gnuCOBOL qui permettent d'exécuter le code sur PC ?

Au pire, est ce si problématique de maintenir le code ? En regardant sur wikipedia, en cobol 2014 le langage est modernisé avec des types modernes et l'orientation objet. (il y a même un cobol 2023).

Les dév ça se forme, et c'est sans doute préférable de manipuler des grandes quantités de calculs en cobol que dans la plupart des langages non ? surtout si on a besoin d'avoir des arrondis obéissant à des règles comptables plutôt que sur une accumulation d'imprécision du calcul flottant binaire.

Quoique, en python, il y a le module decimal pour ça, et je viens de voir qu'il peut être utilisé en c et c++.
c'est tous le probleme justement.
Il faut trouver des dev pour faire du cobol, il y'en a peu et coutent cher.

Pour les dev c'est loin d’être une bonne affaire aussi, ok avec cobol ils peuvent trouver un taff mieux pays, mais cobol c'est rare et donc ils seront prisonnier de leurs boite. Un dev cobol va difficilement pouvoir retrouver un taff ailleurs, surtout en cas de layoff il sera dans la merde.
Pour un dev il vaut mieux se former dans des technos d'avenir, sa lui donnera un taff mieux payé et être attractif sur le marché du travail.

Ou alors négocier avec sa boite d’être dev cobol à mi temps ET aussi de faire autre chose de plus vendeur sur le cv, mais pour la boite ca coute encore plus cher ce deal.
Au final la migration apparait comme une bonne solution pour l'avenir de la boite. Car un salarié sa reste pas longtemps dans une boite, 2-5ans. Trouver des devs cobols tous les 2-3 ans, c'est chaud.

Perso j'ai toujours travaillé sur des technos d'avenir, j'ai toujours choisis mes postes en fonction de ca (en plus du salaire). Ca m'a toujours garantie des portes ouvertes auprès des entreprises et des salaires attractifs.
J'ai toujours poussé en interne a utiliser et travailler sur les technos les plus vendeurs sur le cv. Il faut toujours préparer son prochain job, même si il arrivera jamais ou dans 10ans, ou... dans 1 semaine par surprise car la boite a décidé de te virer.

en 2025, Cobol reste une bonne compétence pour le salaire si on habite dans un gros bassin d'emploi comme paris, mais ne surtout pas s'enfermer que la dedans et développer d'autres expertises.
7  5 
Avatar de christiandocker
Futur Membre du Club https://www.developpez.com
Le 03/04/2025 à 11:58
Musk se croit une fois encore au dessus du lot ... mais il ne sait pas que des migrations existent déjà qu'il serait bon d'utiliser.

C'est ancien, ça date d'environ 30 années ! Mais cela a déjà été réalisé à grande échelle.

Se rapprocher des SSII française pour éviter d'inventer le fil à couper le beurre !
2  0 
Avatar de _toma_
Membre éclairé https://www.developpez.com
Le 25/02/2025 à 12:30
Encore une fois l’absurdité de notre duo défenseurs de la démocratie est incroyable. Les emplois de dizaines de milliers de personnes vont être jugés uniquement sur ce qu'il s'est passé la semaine dernière ?
Les courriels de l'U.S. Office of Personnel Management (OPM) ont été envoyés aux employés fédéraux samedi, peu après que Musk a écrit dans un message sur X que « tous les employés fédéraux recevront bientôt un courriel leur demandant de comprendre ce qu'ils ont fait la semaine dernière. L'absence de réponse sera considérée comme une démission. »

Le courriel de l'OPM ne mentionnait pas la menace de démission, mais disait : « Veuillez répondre à cet e-mail en indiquant en 5 points environ ce que vous avez accompli la semaine dernière et en envoyant une copie à votre supérieur hiérarchique. N'envoyez pas d'informations confidentielles, de liens ou de pièces jointes. La date limite est ce lundi à 23h59 EST ».
Je m'attarderai pas sur le phénomène de purge, le putsch continue son bonhomme de chemin.
Je ne prendrai même pas la peine de parler de l'utilisation de l'IA pour prendre ces décisions, les technologistes vénèrent la technologie.
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