
« Les postes essentiels à l'avancement d'initiatives clés ou qui requièrent des compétences spécialisées bénéficient des plus fortes augmentations de salaire de départ, bien que 48 % des cadres prévoient qu'il sera toujours difficile de répondre aux attentes des candidats en matière de rémunération. Lorsque l'écart entre les attentes et l'offre est trop important, de nombreux employeurs négocient des options de travail à distance ou hybride pour aider à conclure l'affaire », souligne la firme Robert Half dans une étude.
Cette étude fait suite à de précédentes qui illustrent que les employés sont prêts à accepter des baisses de salaires pour rester en télétravailI’m a skilled worker and I’m willing to take -50k to stay remote..Many like me.
— Lewis Levin (@levin5_levin) December 31, 2024
Cette enquête fait suite à un sondage sur developpez.com qui a révélé que la majorité, soit 56,57 %, des votants sont pour rester en télétravail de façon permanente après la crise. Une autre enquête publiée à mi-parcours de l’année 2020 par OnePoll en collaboration avec GoTo mettait en avant des tendances similaires. Le sondage réalisé auprès de 1000 employés de bureau aux USA, 250 employés de bureau en Inde, au Royaume-Uni, au Brésil et en Allemagne, 125 employés de bureau en Australie et 125 employés de bureau en Nouvelle-Zélande avait révélé que :
- 48 % étaient prêts à accepter une baisse de salaire pour rester en télétravail ;
- 77 % des répondants estimaient que la formule télétravail est le meilleur moyen d’aider l’environnement en raison d’une baisse importante des trajets domicile-travail.
Source : Robert Half
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