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Près de la moitié des entreprises américaines utilisant l'IA déclarent que leur objectif est de réduire les coûts liés au personnel,
Selon une enquête de la Fed de Richmond

Le , par Mathis Lucas

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Une enquête de la Réserve fédérale (Fed) de Richmond, en Virginie, suggère que les travailleurs qui craignent que leurs employeurs les remplacent par l'IA pourraient avoir raison. Environ 47 % des entreprises contactées ont déclaré qu'elles automatisent certaines tâches dans le but de réduire les coûts de personnel et de main-d'œuvre. Ces entreprises indiquent qu'elles utilisent aussi l'automatisation afin d'améliorer la qualité des produits (58 % des entreprises), augmenter la production (49 %) et remplacer les travailleurs (33 %). Mais les avantages concrets de l'IA sont encore difficiles à évaluer, des rapports ayant averti que les entreprises risquent d'être déçues.

Dans une enquête qui s'est achevée le 3 juin, la Fed de Richmond a interrogé 450 directeurs financiers sur les projets d'automatisation au sein de leurs entreprises. Près de deux tiers d'entre eux ont déclaré que leur entreprise a pour priorité stratégique d'automatiser les tâches généralement effectuées par les employés. Parmi les entreprises qui prévoient d'automatiser au cours des 12 prochains mois, une majorité s'attend à mettre en œuvre l'IA pour effectuer un large éventail de tâches. L'enquête a été menée en collaboration avec la Fuqua School of Business de l'université Duke et la la Réserve fédérale d'Atlanta, en Géorgie.


John Graham, professeur de finance à l'université Duke et directeur académique de l'étude, a déclaré : « les directeurs financiers affirment que leurs entreprises utilisent l'IA afin d'automatiser une multitude de tâches, qu'il s'agisse du paiement des fournisseurs, de la facturation, de l'approvisionnement, des rapports financiers ou de l'optimisation de l'utilisation des installations. Cela s'ajoute au fait que les entreprises utilisent ChatGPT pour générer des idées créatives et rédiger des descriptions d'emploi, des contrats, des plans de marketing et des communiqués de presse ». L'on pourrait bientôt assister à des licenciements.

Le rapport indique qu'au cours de l'année écoulée, près de 60 % des entreprises interrogées ont "mis en œuvre des logiciels, des équipements ou des technologies pour automatiser des tâches auparavant effectuées par les employés". Ce pourcentage atteint 84 % dans le rang des grandes entreprises. Elles utilisent également l'automatisation pour améliorer la qualité des produits (58 % des entreprises), augmenter la production (49 %), réduire les coûts de main-d'œuvre (47 %) et remplacer les travailleurs (33 %). Le rapport s'attend également à ce que l'utilisation de l'IA augmente fortement au cours de l'année prochaine.

Parmi le groupe d'entreprises qui ont automatisé des tâches, 37 % des entreprises (55 % des grandes entreprises) disent spécifiquement qu'elles ont déjà mis en œuvre l'IA. Dans un discours prononcé la semaine dernière, Thomas Barkin, président de la Fed de Richmond, a déclaré : « il se pourrait bien que nous assistions également à une hausse de la productivité, peut-être sous l'effet de l'automatisation ou même de l'IA ». Cependant, les résultats de l'étude suscitent des critiques acerbes dans la communauté. Certains trouvent inquiétant que les dirigeants choisissent de mettre les employés au chômage au profit de l'IA.


« Si notre société ne fonctionnait pas sur la menace de la pauvreté, je serais très enthousiaste. Malheureusement, tout ce que je vois, c'est que l'IA rend de plus en plus de gens désespérés et privés de leurs droits », a écrit un critique. Un autre internaute écrit : « on ne peut pas créer une société où l'on doit travailler pour vivre et donner tous les emplois raisonnablement rémunérés à l'IA sans s'attendre à des problèmes majeurs. C'est à se demander si les personnes qui défendent cette idée sont si imprévoyantes qu'ils ne se rendent pas compte que les gens sans argent ne peuvent pas acheter de choses ». Un autre affirme :

Citation Envoyé par Critique


Si des gens perdent leur emploi à cause de l'IA, la société doit s'organiser en conséquence.

Sommes-nous prêts à assumer le coût à court terme d'un chômage massif pour la promesse à long terme d'une croissance économique et d'une prospérité pour tous ? Encourageons-nous ces personnes à exercer des métiers centrés sur l'humain ? Décourageons-nous les jeunes et les jeunes adultes d'exercer des professions qui seront probablement rendues obsolètes par l'IA à l'avenir ? Investissons-nous dans une formation plus poussée sur la manière de développer ou d'utiliser les outils d'IA afin que personne ne prenne du retard ?

Ou devons-nous accepter le fait qu'une partie non négligeable de la population sera probablement dévastée économiquement et devons-nous simplement commencer à mettre en place des politiques visant à garantir que tout le monde dispose au minimum d'un logement sûr, d'un accès à une alimentation saine et à l'eau, au chauffage et à la climatisation, à l'internet et à des soins médicaux gratuits ou abordables ?

En ce qui concerne les préoccupations pour l'année prochaine, les directeurs financiers américains indiquent que la politique monétaire (taux d'intérêt), l'inflation et les difficultés à trouver et à conserver les bons employés restent leurs trois principales inquiétudes. De plus, les inquiétudes concernant l'inflation sont aggravées par le fait que 57 % des entreprises ont répondu qu'elles s'attendaient à ce que les prix de leurs produits augmentent cette année à un rythme plus élevé que la normale. L'optimisme des directeurs financiers est resté modéré, les petites entreprises étant beaucoup moins optimistes que les grandes.


De nombreux cadres veulent poursuivre leurs efforts visant à déployer des outils d'IA générative malgré le scepticisme quant au retour sur investissement de ces dépenses. Certains dirigeants se plaignent déjà du fait que les retombées des projets d'IA sont "lamentables". Selon une enquête de Lucidworks, les retards, les problèmes de mise en œuvre et les avantages non réalisés sont autant de défis pour les projets en matière d'IA générative en 2024. L'enquête révèle que seule une entreprise sur quatre a lancé avec succès des initiatives d'IA au cours des 12 derniers mois. Et les experts ne sont pas optimistes pour l'avenir.

À en croire Daron Acemoglu, professeur d'économie au MIT, l'IA n'augmentera la productivité aux États-Unis que de 0,5 % et ne favorisera la croissance économique que de 0,9 % au cours de la prochaine décennie. Il estime qu'il n'y aura pas un nombre "massif" d'emplois touchés par l'IA dans un avenir proche, car, selon lui, de nombreux emplois tels que ceux de la fabrication ou de l'exploitation minière sont polyvalents et nécessitent une interaction avec le monde réel. Le professeur a ajouté que l'IA aura un impact plus important sur "les tâches purement mentales", mais que le nombre de ces emplois ne sera pas énorme.

Acemoglu avertit également que l'architecture actuelle de la technologie de l'IA elle-même peut avoir des limites. « La cognition humaine implique de nombreux types de processus cognitifs, d'entrées...
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Avatar de Pyramidev
Expert éminent https://www.developpez.com
Le 18/02/2025 à 1:00
Citation Envoyé par diamondsoftware Voir le message
ou est l'humain et les relations/interactions humaines dans le fait de faire disparaitre l'acceuil?
Plus ça va moins on interagi entre humains...
Le 23 mars 2019, Nellie Bowles avait écrit Human Contact Is Now a Luxury Good.

Je n'ai pas accès à cet article sans me loguer. Mais, le 26 avril 2019, Titiou Lecoq l'a cité dans son article Robot pour les pauvres, contact humain pour les riches.

Extrait :

Citation Envoyé par Titiou Lecoq
Dans le New York Times, Nellie Bowles, journaliste tech, part de l'histoire de ce monsieur et va plus loin, mettant en lumière une forme d'inégalité inédite. Au début, les outils numériques étaient un signe de richesse. Dans les années 1980, posséder un ordinateur chez soi était un marqueur d'une certaine classe sociale. Être connecté également. À l'époque des bipeurs (les pageurs), on montrait qu'on était indispensable, qu'on était demandé, donc qu'on avait une valeur particulière. Et puis, les choses se sont inversées. Maintenant, être puissant c'est pouvoir ignorer les coups de téléphone, ne pas répondre immédiatement à un mail. C'est se déconnecter.

Le numérique qui était un truc de riche devient un truc de pauvre. Pas assez de moyens dans une école? Il n'y a qu'à y mettre des écrans. Pas assez de moyens dans un hosto? Hop, un médecin-écran. On va pouvoir automatiser les maisons de retraite avec des robots, ça coûtera moins cher. À l'inverse, dans une maison de retraite de luxe, on aura toujours une foule d'êtres humains pour s'occuper des pensionnaires. Idem dans un hôpital privé, on aura un médecin en chair et en os pour nous informer. Et de plus en plus d'écoles privées se targuent déjà d'être sans écran.

On va donc aboutir à une situation que Nellie Bowles qualifie de «luxurification de l'engagement humain». Un contact humain devient un luxe. La texture même de la vie va devenir profondément différente selon si vous êtes riche ou pauvre, selon que vous la vivrez IRL ou via des écrans. Les pauvres seront entourés de robots et d'écrans, que ce soit au début de leur vie ou à la fin, alors que les riches pourront se payer des contacts humains. D'ailleurs, les pauvres pendant leur vie active obéiront à des machines comme c'est déjà le cas des micro-travailleurs. L'horizon de leur expérience sera celle de l'écran.
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Avatar de rsuinux
Membre actif https://www.developpez.com
Le 28/08/2024 à 6:57
La philosophie dans l'IA ne sert strictement a rien.
Enfin, si , ça peut servir, mais tel que le Monde tourne, non. Pour le moment, l'IA est uniquement utiliser pour virer les personnes et faire du bien aux portefeuilles d'actions des entreprises.
Dire qu'amazon licencie "a cause de l'IA" parce que son modèle économique s'effondre, ça me fait rire. Quel sont les retours des actionnaires d'amazon?
Non pour le moment, les dirigeants d'entreprises ne pense qu'à remplacer l'humain pour faire plaisir aux [banque/actionnaires/autre] c'est tout. L'implication pour la société, tout le monde s'en fout.
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Avatar de Vilanelle
Membre régulier https://www.developpez.com
Le 28/08/2024 à 11:52
Pas de panique ! Nous avons déjà en France les meilleurs philosophes du monde, dignes du siècle des lumières, j'ai nommé BHL et Raphaël Enthoven !
(Humour, ironie, désespoir ...)
4  0 
Avatar de Galactus13
Membre à l'essai https://www.developpez.com
Le 16/02/2025 à 6:20
Ce problème ne touche et ne touchera pas que les hôtels et restaurant, mais tout les emploi d'accueil phonique, on le voit depuis de nombreuses années quand on souhaite joindre un service par téléphone,
Systématiquement, c'est un répondeur type IA, ce qui a le don de m'exacerber, 50% du temps, je raccroche ; si tout le monde faisait de même, ces emplois ne subiraient pas autant de casse.
Certes, l'automatisme peut être utile quand il offre un travail moins pénible, offre l'option à réduire le risque d'une erreur, mais où s'arrête et/ou commence l'excès ?
le chômage grandissant en sera le fruit maudit. Ce n'est qu'un avis, et ce n'est que le commencement.
3  0 
Avatar de der§en
Membre expérimenté https://www.developpez.com
Le 14/02/2025 à 23:01
M’est avis que ceux qui vont le plus disparaître, c’est les journalistes
2  0 
Avatar de Axel Mattauch
Membre averti https://www.developpez.com
Le 16/02/2025 à 11:53
Citation Envoyé par Galactus13 Voir le message
Ce problème ne touche et ne touchera pas que les hôtels et restaurant, mais tout les emploi d'accueil phonique, on le voit depuis de nombreuses années quand on souhaite joindre un service par téléphone,
Systématiquement, c'est un répondeur type IA, ce qui a le don de m'exacerber, 50% du temps, je raccroche ; si tout le monde faisait de même, ces emplois ne subiraient pas autant de casse.
Certes, l'automatisme peut être utile quand il offre un travail moins pénible, offre l'option à réduire le risque d'une erreur, mais où s'arrête et/ou commence l'excès ?
le chômage grandissant en sera le fruit maudit. Ce n'est qu'un avis, et ce n'est que le commencement.
C'est en effet un domaine parfaitement calibré pour l'IA (sous toutes ses déclinaisons). Réagir a des demandes vocales (à défaut: par texte) en donnant des réponses ayant l'air de traiter du sujet, mais en pratique à côté de la plaque. Déjà les centres d'appels délocalisés permettent d'avoir des interlocuteurs qui répondent, certes, mais pas aux questions que l'utilisateur pose.

La caractéristique générique fondamentale de l'IA est de donner des apparences de compréhension. Synthèse d'apprentissages hors sol c'est par conception même que les productions sont factices.

Mais tant que l'on peut faire des bénéfices en évitant de s'appuyer sur le talent d'un artiste, sur la compétence d'un médecin, sur la capacité d'analyse d'un journaliste etc., en substituant des succédanés aux valeurs effectives, l'IA est une niche marketing et une catastrophe pour les emplois.

Le fin du fin, c'est quand il n'y aura même plus besoin de regarder des séries produites par ces techniques, les machines les regarderont à notre place.
2  0 
Avatar de diamondsoftware
Membre actif https://www.developpez.com
Le 17/02/2025 à 10:10
Bonjour,
j'ai une question:
ou est l'humain et les relations/interactions humaines dans le fait de faire disparaitre l'acceuil?
Plus ça va moins on interagi entre humains... chacun s'isole dans sa bulle, une bulle "orientée" selon les algorithmes de nos applicatios sur smartphone...
Je trouve ça terrible et extremement dangereux pour la societe et l'humanité.
Je ne suis pas contre la technologie, bien au contraire, mais elle doit utilise a bon escient , pour le bien de l'homme...
S.
3  1 
Avatar de totozor
Expert confirmé https://www.developpez.com
Le 28/08/2024 à 8:03
Pensez-vous que les philosophes peuvent réellement influencer les décisions technologiques des entreprises d’IA ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
Non, pour deux raisons :
1. Nous sommes dans un société qui se prétend de rationnalisme/pragmatisme et qui exclue la philosophie
2. Une bonne partie des philosophes qui ont un discours public ne méritent pas ce titre, ils ne sont plus capable de mener une réflexion complète.
Pensez-vous que les différences méthodologiques entre philosophes et ingénieurs peuvent être surmontées ? Si oui, comment ?
Je penses surtout qu'elles ne doivent pas être opposées, chacune doit enrichir l'autre.
Le jour où les ingénieurs se rendront compte qu'avoir un résultat sorti d'un ordinateur n'en fait pas un résultat neutre/objectif/apolitique etc la monde aura bien avancé!
Quels sont, selon vous, les principaux défis éthiques posés par l’IA aujourd’hui ? Comment les philosophes pourraient-ils contribuer à résoudre ces défis ?
L'IA, telle qu'elle est considérée aujourd'hui, amène des solutions absolues et donc intrinsèquement bonnes pour la société.
Mais celles ci ont des implications éthiques sociales et sociétales, quelques philosophes pour le rappeler ne ferait pas de mal.
Les sujets sont notamment abordés de façon statistiques ou probabilistes en ce moment, ce qui n'est pas forcément un mal. Mais que se passe-t-il quand la statistique sacrifie des personnes que la situation précédente de sacrifiait pas?
La décision est-elle toujours aussi bonne? (La réponse varie en fonction de la situation et de nos positionnement politiques notamment)
Comment les philosophes peuvent-ils acquérir une compréhension suffisante des aspects techniques de l’IA pour être pertinents dans ce domaine ?
Ces personnes ne sont pas censées être capables d'ingérer des tonnes d'informations pour en sortir une réflexion qui n'est pas à la portée de tous?
Il existe des livres, des recherches, des experts qui peuvent les renseigner.
D'ailleurs certains de ces experts ou chercheurs ont probablement déjà abordé le sujet d'un point de vue plus philosophique que technique.
Avez-vous des exemples où une collaboration interdisciplinaire a réussi à surmonter des défis similaires dans d’autres domaines ?
On doit trouver des choses du coté de la collaboration entre écologie et industrie par exemple.
Quels autres domaines de la connaissance devraient être impliqués dans la réflexion sur l’IA, en plus de la philosophie ?
Les sciences humaines, l'IA impactera significativement les sociétés, évaluer/prévenir/se préparer à ces impacts ne fera pas de mal à certains.
la sureté aussi, je penses que l'industrie risque d'augmenter sa létalité si on suit les messages que je perçoit aujourd'hui : les incidents courants vont diminuer mais ceux qui se produisent moins risquent d'augmenter (parce que l'IA gère difficilement les exceptions) et les incidents exceptionnels sont souvent plus mortels.
Croyez-vous que les entreprises technologiques prennent suffisamment en compte les implications éthiques de leurs innovations ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
Non, l'éthique c'est rarement rentable.
Pensez-vous que les entreprises technologiques sont prêtes à accepter des ralentissements potentiels dans leur développement pour intégrer des perspectives éthiques ? Pourquoi ou pourquoi pas ?
Non, le ralentissement va à l'encontre du capitalisme.
C'est pour ça qu'il existe des règlementations.
Pensez-vous que l’éducation en philosophie devrait être intégrée dans les cursus des ingénieurs et des scientifiques ?
Oui mais non.
Oui elle le devrait mais quelle école veut embaucher un profs qui va suggérer qu'on part dans la mauvaise direction.
Les premiers clients des écoles d'ingé sont des industries ou des futurs industriels. Qui va à l'encontre de ses clients?
Comment voyez-vous l’avenir de l’IA si nous intégrons davantage de perspectives philosophiques dans son développement ?
La question ne se pose pas parce que ça n'arrivera pas (voir ma première réponse)
1  0 
Avatar de petitours
Membre émérite https://www.developpez.com
Le 18/09/2024 à 18:04
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Quels sont les avantages et les inconvénients de l’automatisation des tâches par l’IA dans les entreprises ?
Que l'IA n'est pas flexible en plus de ne pas être pas drôle. Automatiser ce que l'on croit automatisable c'est mépriser tout le travail imperceptible que font tous ceux que l'on croit ne faire que des trucs automatiques. j'espère que ceux qui feront ca s'en mordront vite les doigts.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Comment les gouvernements devraient-ils réagir face à l’augmentation de l’automatisation et à la possible perte d’emplois ?
La fiscalité, robot ou IA même combat il faut les taxer plutot que de taxer l'emploi. aujourd'hui on fait tout pour virer de l'emploi par la fiscalité alors que c'est de tout l'inverse dont la société a besoin.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Pensez-vous que l’IA pourrait créer de nouveaux types d’emplois pour compenser ceux qu’elle remplace ? Si oui, lesquels ?
Oui, chez ceux qui n'en manquent pas aujourd'hui, loin, très loin de la prise en compte des nombreuses personnes non qualifiées pour gérer ces outils et/ou qui ont un sens éthique et social suffisamment développé pour ne pas avoir envie d'y contribuer.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Comment les entreprises peuvent-elles préparer leurs employés à travailler aux côtés de l’IA ?
en développant des services flexibles qui marqueront le manque d’intérêt de ce qui est produit pas les IA. A définir des stratégie pour ne pas les adopter.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Quels sont les défis éthiques liés à l’utilisation de l’IA dans le monde professionnel ?
Aujourd'hui le gros sujet c'est que l'IA ne construise pas sa valeur sur le travail produit par les humains qu'elle vise à écarter à moyen terme.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Comment les entreprises peuvent-elles assurer une transition équitable pour les employés dont les postes sont automatisés ?
Pourquoi les entreprises devraient souhaiter cela ? Une entreprise est une machine à cash qui peut avoir vocation à engraisser des actionnaire mais qui peut aussi plus largement avoir comme objectif de faire vivre des gens.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Voyez-vous des secteurs où l’IA ne devrait pas être utilisée ? Pourquoi ?
La totalité des métiers de création, quels qu'ils soient. La totalité des métiers à faible qualification.

Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
Comment les entreprises peuvent-elles utiliser l’IA de manière responsable tout en restant compétitives ?
l'IA a t-elle démontrée sa toute puissance aujourd’hui ? a par les hallucinations, la consommation d'énergie et l'absence d'humour elle n'a pas démontré grand chose aujourd'hui.
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Avatar de RenarddeFeu
Membre averti https://www.developpez.com
Le 27/11/2024 à 23:27
Ces mêmes personnes doutaient aussi sûrement des gains de l'outsourcing en Inde et en Afrique du Nord quand c'était encore à la mode. Toujours est-il que les décideurs y ont eu massivement recours, peu importe que ça fonctionne ou pas.

Ce que ne comprend pas 69% des demandeurs d'emploi, c'est qu'on attend d'eux qu'ils s'adaptent à la politique de l'entreprise et pas l'inverse, furent les décisions prises totalement ineptes.
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