
Un récent sondage révèle que plusieurs postulants auraient recours au stratagème
C’est de façon brossée ce qui ressort d’un récent sondage mené par Zippia. La firme spécialisée en conseil en matière de gestion des carrières professionnelles a interrogé 1000 personnes. Dans les chiffres, plus de 30 % des participants au sondage ont soit menti, soit déformé la vérité sur leurs CV dans le but de décrocher un emploi. En sus, près de 80 % des participants dans le lot des menteurs disent ne pas avoir attiré l’attention d’un seul radar…
Près de 69 % des participants au sondage ont initialement déclaré ne pas avoir menti, ce qui a amené le nombre de « falsificateurs » à celui dont il a été fait mention, mais il faut dire qu’il s’agit grosso modo de chiffres à revoir. En effet, à la question de savoir si un participant mentirait sur son CV, seulement 47 % des participants ont réitéré qu’ils n’ont et ne mentiront jamais. Les raisons d’une telle baisse se cachent dans les possibles motivations : obtenir le poste, augmenter son salaire, etc.
D’après les résultats du sondage mené par Zippia, les 25 à 39 ans sont les plus susceptibles de mentir sur un curriculum vitae. En effet, 18 % des participants au sondage ont admis faire usage du stratagème. En sus, l’enquête a mis en avant ce qui serait la tranche d’âge constituée des personnes les plus honnêtes avec moins de 7 % des plus de 45 ans qui ont admis avoir menti.
Le niveau d’études n’a pas manqué d’apporter son lot de révélations via l’étude de Zippia. En effet, 27 % de possesseurs de diplômes de l’enseignement secondaire ont admis avoir menti sur un curriculum vitae.
« Bien en dessous se trouvent, en deuxième position, les personnes avec l'équivalent d'une licence. En sus, 18 % des diplômés d'un cycle équivalent à un BTS admettent avoir menti sur leur CV. Seulement 11 % des personnes ayant des diplômes du second et du troisième cycle universitaire admettent avoir menti sur leur CV », ajoute Zippia.
Mentir sur un curriculum vitae que risque-t-on ? Rien, si le postulant peut passer sous les radars. De l’autre côté : c’est un poste qui lui tend les bras. Seulement, dans certains pays, la législation est rude avec ceux qui sont pris ; mentir sur un curriculum vitae peut valoir une peine de prison.
Source : Zippia
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