Près de 69 % des participants au sondage ont initialement déclaré ne pas avoir menti, ce qui a amené le nombre de « falsificateurs » à celui dont il a été fait mention, mais il faut dire qu’il s’agit grosso modo de chiffres à revoir. En effet, à la question de savoir si un participant mentirait sur son CV, seulement 47 % des participants ont réitéré qu’ils n’ont et ne mentiront jamais. Les raisons d’une telle baisse se cachent dans les possibles motivations : obtenir le poste, augmenter son salaire, etc.
D’après les résultats du sondage mené par Zippia, les 25 à 39 ans sont les plus susceptibles de mentir sur un curriculum vitae. En effet, 18 % des participants au sondage ont admis faire usage du stratagème. En sus, l’enquête a mis en avant ce qui serait la tranche d’âge constituée des personnes les plus honnêtes avec moins de 7 % des plus de 45 ans qui ont admis avoir menti.
Le niveau d’études n’a pas manqué d’apporter son lot de révélations via l’étude de Zippia. En effet, 27 % de possesseurs de diplômes de l’enseignement secondaire ont admis avoir menti sur un curriculum vitae.
« Bien en dessous se trouvent, en deuxième position, les personnes avec l'équivalent d'une licence. En sus, 18 % des diplômés d'un cycle équivalent à un BTS admettent avoir menti sur leur CV. Seulement 11 % des personnes ayant des diplômes du second et du troisième cycle universitaire admettent avoir menti sur leur CV », ajoute Zippia.
Mentir sur un curriculum vitae que risque-t-on ? Rien, si le postulant peut passer sous les radars. De l’autre côté : c’est un poste qui lui tend les bras. Seulement, dans certains pays, la législation est rude avec ceux qui sont pris ; mentir sur un curriculum vitae peut valoir une peine de prison.
Source : Zippia
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Mentir sur un curriculum vitae : que risque le postulant ?
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