IdentifiantMot de passe
Loading...
Mot de passe oublié ?Je m'inscris ! (gratuit)

Vous êtes nouveau sur Developpez.com ? Créez votre compte ou connectez-vous afin de pouvoir participer !

Vous devez avoir un compte Developpez.com et être connecté pour pouvoir participer aux discussions.

Vous n'avez pas encore de compte Developpez.com ? Créez-en un en quelques instants, c'est entièrement gratuit !

Si vous disposez déjà d'un compte et qu'il est bien activé, connectez-vous à l'aide du formulaire ci-dessous.

Identifiez-vous
Identifiant
Mot de passe
Mot de passe oublié ?
Créer un compte

L'inscription est gratuite et ne vous prendra que quelques instants !

Je m'inscris !

Syntec Numérique : 34 000 emplois nets ont été créé en 2018 dans le secteur numérique
Des emplois un peu moins concentrés en Île-de-France en 2018 au profit des régions

Le , par Stéphane le calme

51PARTAGES

10  0 
Selon des chiffres publiés vendredi par Pôle emploi, le nombre de chômeurs a continué de légèrement diminuer au troisième trimestre. La France comptait en moyenne entre juillet et septembre 3617 millions de personnes inscrites en catégorie A (3364 millions en métropole), soit 15 800 de moins qu'au trimestre précédent, où la baisse était quasi identique. Sur un an, le recul est de 2,4 %.

Le nombre de demandeurs d'emploi avec ou sans activité (A, B et C) a baissé un peu plus fortement, de 0,9 %, à 5836 millions (-52 100). Sur un an, le recul est de 2 %. La baisse est surtout marquée pour les demandeurs d'emploi en catégorie C (ayant travaillé plus de 78 heures par mois) avec un recul de 2,4 % (-0,4 % sur un an).

En marge de la publication de statistiques publiques sur l’emploi, Syntec Numérique a souligné que le secteur du numérique reste dynamique.

En matière d’emploi salarié, les services informatiques (hors logiciels) voient cette année encore leurs effectifs croître : +6,5 % au 1er trimestre 2019 (vs 1,4 % sur l’ensemble du secteur). Sur les quatre derniers trimestres, le rythme de croissance de l’emploi dans le secteur est en accélération avec +7,1 %, une croissance 6 fois plus forte que dans l’ensemble du secteur privé (+1,2 %).

Sur l’année 2018, la branche des services informatiques et logiciels a créé plus de 34 000 emplois nets. C’est la 9e année consécutive de croissance dans le secteur qui a créé près de 151 000 nouveaux emplois depuis la crise de 2009. Des emplois un peu moins concentrés en Île-de-France en 2018 (50,7 % vs 52,1 % en 2013), au profit des régions.


« Syntec Numérique se félicite de la poursuite des belles performances du secteur. Les chiffres sont là pour le démontrer. Les opportunités d’emploi dans le numérique sont nombreuses au sein de nos entreprises.C’est pourquoi notre organisation professionnelle se mobilise largement en faveur de l’attractivité,de la formation et de la reconversion vers les métiers du numérique », a déclaré Godefroy de Bentzmann, Président de Syntec Numérique.

Concernant les chiffres clés du secteur numérique, Syntec note :
  • 510 000 salariés en 2018
  • 150 800 postes créés depuis 2009 (Bipe exploitation données Acoss 2018)
  • 25,8 % ont moins de 30 ans
  • 93,1 % de CDI (Bipe exploitation données Acoss 2018)
  • 72,4 % de cadres (Bipe exploitation données Acoss 2018)
  • 49,4 K € de rémunération brute moyenne (temps plein)

Les cadres et les moins de 30 ans constituent respectivement 72,4 % et 25,8 % des effectifs IT, selon des données Acoss exploitées par le cabinet BIPE. Une tendance qui devrait se poursuivre puisque, selon l’Apec, les recruteurs recherchent avant tout des jeunes diplômés et des cadres ayant de 1 à 5 ans d’expérience professionnelle.

Un durcissement des règles d'indemnisation

Ces chiffres sont publiés dans un contexte bien particulier. En effet, le premier volet sur l'accès à l'indemnisation entre en vigueur au 1er novembre La réforme, très critiquée par les syndicats qui y voient comme Laurent Berger (CFDT) « un système d'accroissement de la pauvreté », modifie en particulier la durée minimale de travail exigée pour ouvrir des droits.

Tout d'abord, la durée requise pour pouvoir être indemnisé par Pôle Emploi : il faudra avoir travaillé 6 mois dans les 24 mois qui précèdent l'entrée au chômage, et non plus, comme jusque-là, 4 mois dans les 28 derniers mois. L'Unedic a calculé qu'avec ce resserrement, 9 % des chômeurs perdront tout droit à indemnisation, tandis que les autres mettront plus de temps avant de la toucher. Deuxième mesure phare de cette première salve de la réforme, l'instauration de la dégressivité des allocations chômage pour les salaires supérieurs à 4500 euros brut par mois. Après six mois à taux plein, le chômeur subira un abattement de 30 % avec un plancher fixé à 2261 euros nets par mois.

Toutefois, ces premières mesures de durcissement s'accompagnent également de nouveaux droits pour certains. Ainsi, à partir du 1er novembre, les salariés démissionnaires ayant au moins cinq ans d'ancienneté dans leur entreprise pourront bénéficier de l'assurance-chômage pour réaliser un projet professionnel. Autre nouveauté, les travailleurs indépendants pourront toucher, sous certaines conditions, une indemnisation de 800 euros par mois pendant six mois.

Source : Syntec Numérique

Et vous ?

Qu'en pensez-vous ?

Voir aussi :

Syntec dévoile les performances de l'industrie française du numérique, après une croissance de + 4,1 % en 2018, le cabinet table sur + 4,2 % en 2019
Les chauffeurs des voitures autonomes de Waymo intimidés et menacés en Arizona, la crainte de se retrouver au chômage serait à la base de ces méfaits
France : EY et Syntec Numérique présentent la 8ème édition du Top 250 des éditeurs de logiciels avec une croissance de 12 % et un CA de 15 Md€
Pôle emploi : le chômage recule de 2,9 % chez les développeurs au premier trimestre 2018, mais est en hausse de 8,3 % sur un an

Une erreur dans cette actualité ? Signalez-nous-la !

Avatar de grunk
Modérateur https://www.developpez.com
Le 29/10/2019 à 17:04
C'est tellement pénible cette hégémonie de l'IDF dans notre branche. Certes il y'a plus de monde en idf mais certainement pas 50% de la population Française.
Perso tu peux doubler mon salaire j'irais pas mettre les pieds à Paris ou sa proche banlieue.
9  0 
Avatar de defZero
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 29/10/2019 à 21:06
Syntec Numérique se félicite de la poursuite des belles performances du secteur.
Les chiffres sont là pour le démontrer.
Les opportunités d’emploi dans le numérique sont nombreuses au sein de nos entreprises.
C’est pourquoi notre organisation professionnelle se mobilise largement en faveur de l’attractivité, de la formation et de la reconversion vers les métiers du numérique

Godefroy de Bentzmann, Président de Syntec Numérique.
Donc pour le M. tout va bien dans le meilleur des mondes. OK admettons.
Mais alors analysons les chiffres fournit.

Concernant les chiffres clés du secteur numérique, Syntec note :

510 000 salariés en 2018
150 800 postes créés depuis 2009 (Bipe exploitation données Acoss 2018)
25,8 % ont moins de 30 ans
93,1 % de CDI (Bipe exploitation données Acoss 2018)
72,4 % de cadres (Bipe exploitation données Acoss 2018)
49,4 K € de rémunération brute moyenne (temps plein)

Les cadres et les moins de 30 ans constituent respectivement 72,4% et 25,8% des effectifs IT, selon des données Acoss exploitées par le cabinet BIPE.
...
- 510_000 salariés en 2018.
OK, mais on est loin d'être tous salariés et ça ne nous renseigne pas plus sur les effectifs en 2009 ou avant.
Pour tracer une droite j'ai besoin de 2 points de référence .
Alors plus ou moins d’effectifs dans le secteurs ?
Déjà venant d'un M. disant que "Les chiffres sont là pour le démontrer." on sens l'entourloupe.

- 150_800 postes (~29.57% des effectifs 2018) créés depuis 2009.
Dont 34_000 postes (~6.67% des effectifs 2018) rien qu'en 2018, ce qui fait 116_800 postes (~22.90% des effectifs 2018) créés sur 7 ans, soit une moyenne de 16_685 postes (~3.27% des effectifs 2018) par ans.
Je peut me tromper, mais au vu du nombre de personnes se formant/qui se reconvertisses à l'informatique tous les ans, ça me semble être très peut.
Sans compter qu'habituellement la demande est qu'en même 2 fois moins importante que celle de l'année 2018, juste avant la fin de leur exercice statistique, comme c'est étrange.

- 25.8% (131_580 postes en 2018, Cadres & Non Cadres, ça aussi on ne nous le dit pas) de moins de 30 ans.
Soit 74.2% (378_420 postes en 2018) de plus de 30 ans.
Au vu du nombre de diplômés chaque années, ça me semble aberrant de recommander l'informatique en déclarant que :
Les opportunités d’emploi dans le numérique sont nombreuses au sein de nos entreprises.
Et malgré le jeunisme constaté c'est quand même étrange, non ?
Ou alors ils admettent qu'il y a un problème de rémunération des entrants ?

- 93.1% de CDI (474_810 postes en CDI pour l'année 2018, stable ou pas ? ...Sais pas ).
Avec une population de 72.4% de cadre (369_240 postes en 2018) et de 74.2% (378_420 postes en 2018) de plus de 30 ans.
Les postes fixe sont majoritairement occupé par des cadres de plus de 30 ans.
Donc, encore une fois, le marché sens plus la saturation qu'autre chose.

- 72,4 % de cadres (369_240 postes en 2018) en 2018.
Soit 27.6% (140_760 poste en 2018) de non Cadres pour 2018.
On ce rapproche quand même bien du nombres de poste créés depuis 2009, non ?
Précarité est tu là ?

- 49_400€ de rémunération brut moyenne en ETP (pour 2018 ? stable ? ...)
Avec une population en majorité de cadre de plus de 30 ans, en CDI et avec 1 à 5 ans expérience professionnel.
Surprise dit donc.

Quand en plus l'APEC déclare :
Une tendance qui devrait se poursuivre puisque, selon l’Apec, les recruteurs recherchent avant tout des jeunes diplômés et des cadres ayant de 1 à 5 ans d’expérience professionnelle.
Et que le M. Président du Syntec déclare :
C’est pourquoi notre organisation professionnelle se mobilise largement en faveur de l’attractivité, de la formation et de la reconversion vers les métiers du numérique
Je résume donc, ce que j'ai cru comprendre de la pensé exprimé.

L' APEC annonce des recrutement :
- Des "jeunes diplômés" (pas forcement cadre) soit la majorités des embauches depuis 2009, les plus mal rémunéré et qui constitues une main d’œuvre bon marché.
Oui car avec 49,4 K € de rémunération brute moyenne (ETP) pour 72.4% de cadre et 74.2% de plus de 30 ans , ça laisse une bonne idée de ce qui reste pour les 27.6% restant.
- Des "cadres, Exp +1-5", soit du débauchage. Donc, pas de création réelle de postes, signe d'un marché de l'emploi saturé.

M. Syntec, veut plus de nouveau entrants sur le marché pour faire baisé encore les salaires.
Et il s'en donne les moyens, en faisant payer par l'état des formations qui déboucherons pour la majeure partie sur des emplois mal payés et précaires.

En ce qui concerne les nouvelles règles d'indemnisations, je suis d'accord avec le syndicaliste pour ce coup-ci
Un système d'accroissement de la pauvreté
Laurent Berger (CFDT)
C'est tellement évident, qu'il n'y à même pas à argumenter pour le coup.
De toute façons, notre gouvernement a orchestrer une diminution des Aides Sociales en tous genres pour boucler son budget.
Étant donné que ces aides sont accordés aux personnes en ayant vraiment le plus besoin, voyons ce que ça va donner dans un monde ou seule les inégalités croient.

Conseiller la filière Informatique en 2019, c'est de l'inconscience pur et simple.
8  1 
Avatar de grunk
Modérateur https://www.developpez.com
Le 30/10/2019 à 16:35
Citation Envoyé par Glutinus Voir le message
Tu peux aller vivre à Orléans, Amiens ou Rouen et faire l'aller-retour tous les jours.
Pour Rouen, c'est plus chaud aujourd'hui, littéralement.
Faire plus de 2h de trajet A/R j'ai déjà donné (en bagnole) et c'est non merci. Tu pars à 7h le matin , tu rentres à 19h quand tout va bien ... bonjour la vie de famille.

Perso je suis en plein coeur de la cote d'or , à 10min de mon taf en voiture , pas de feu , pas de bouchon et je suis pas payé particulièrement moins que mes connaissances en RP (un peu mais pas de quoi justifier ne serait ce que le coût de la vie) et j'ai des projets en général plutôt intéressant. Bref je suis pas mal

Après je comprend aussi les gens qui veulent une carrière , avoir des grand noms sur leur CV , mais c'est pas mon délire , je suis pas prêt à sacrifier ma qualité de vie pour une ligne prestigieuse sur mon CV.
6  0 
Avatar de gangsoleil
Modérateur https://www.developpez.com
Le 30/10/2019 à 13:02
En plus de l'analyse complète de defZero, j'aimerai revenir sur 2 point :
Citation Envoyé par Stéphane le calme Voir le message
En matière d’emploi salarié, les services informatiques (hors logiciels) voient cette année encore leurs effectifs croître : +6,5 % au 1er trimestre 2019 (vs 1,4 % sur l’ensemble du secteur).
On voit bien pourquoi ils publient les chiffres *hors logiciels*, mais dans un domaine comme l'informatique, c'est tout de même assez risible d'exclure cette catégorie... Mais bon, ça permet de donner une croissance de 6.5 au lieu de 1.4, donc je vois bien leur intérêt.

Des emplois un peu moins concentrés en Île-de-France en 2018 (50,7 % vs 52,1 % en 2013), au profit des régions.
L'Île de France représente environ 18 à 20 % de la population française, mais plus de 50% des emplois en informatique d'après le Syntec, et ça ne les étonne pas ?? Moi si. Je peux tout à fait admettre qu'il y a plus d'emplois en informatique en IdF qu'ailleurs, mais pas en cette proportion, et du coup je pense qu'ils passent à côté d'un grand nombre. Est-ce que, par exemple, ils incluent les emplois des entreprises utilisant la convention collective de la metallurgie, ce qui est le cas de pas mal d'entreprises qui faisaient de l'électronique et qui font maintenant du logiciel ? Ou bien y-a-t-il plus d'indépendants en province qui ne sont pas non plus comptabilisés ? Ou encore pleins d'autres raisons ?

Ce que je retiens surtout de ce discours, c'est que c'est du vent qui présente les choses comme il veut pour faire croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes...
5  0 
Avatar de yolle
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 29/10/2019 à 19:53
... il n'y aucune raison de ne pas le croire
4  0 
Avatar de d_d_v
Membre éprouvé https://www.developpez.com
Le 30/10/2019 à 11:53
Citation Envoyé par grunk Voir le message
C'est tellement pénible cette hégémonie de l'IDF dans notre branche. Certes il y'a plus de monde en idf mais certainement pas 50% de la population Française.
Perso tu peux doubler mon salaire j'irais pas mettre les pieds à Paris ou sa proche banlieue.
Surtout que le salaire (un peu plus) élevé de l'IDF ne compense pas l'immobilier plus élevé et également toutes les emmerdes de la région (transports saturés, délinquance, cadre de vie).
4  0 
Avatar de Glutinus
Inactif https://www.developpez.com
Le 30/10/2019 à 10:13
Citation Envoyé par grunk Voir le message
Perso tu peux doubler mon salaire j'irais pas mettre les pieds à Paris ou sa proche banlieue.
Tu peux aller vivre à Orléans, Amiens ou Rouen et faire l'aller-retour tous les jours.
Pour Rouen, c'est plus chaud aujourd'hui, littéralement.
2  0 
Avatar de defZero
Membre extrêmement actif https://www.developpez.com
Le 30/10/2019 à 22:28
@gangsoleil, +1. Exclure le logiciel de la branche informatique, .

...
En matière d’emploi salarié, les services informatiques (hors logiciels) voient cette année encore leurs effectifs croître : +6,5 % au 1er trimestre 2019 (vs 1,4 % sur l’ensemble du secteur).
...
Des emplois un peu moins concentrés en Île-de-France en 2018 (50,7 % vs 52,1 % en 2013), au profit des régions.
...
Stéphane le calme
Au vu de ce que je peut observer sur les différents sites de recherche d'emploi, il me semble que le gros des postes concernent majoritairement du Support en informatique.
Ce qui semble abondé dans le sens d'une augmentation des effectifs "hors logiciel" et une provincialisation des offres.

Mais ce n'est que mon avis, je peut me tromper et je n'est fait aucune étude de marché sérieuse pour le prouver.

En ce qui concerne la surreprésentation de l'IdF dans l'informatique, c'est évident que le M. Syntec prêche pour sa paroisse.
La majeur parties des offres logiciel pour les grandes entreprises sont centralisé là bas, de même que les grandes SSII/SEN (pour des raisons historique aussi).

Je crois par contre, qu'il y a plus d'indépendants dans le reste de la France qu'en IdF, pour la simple raison qu'ils n'ont pas trop le choix.
Si vous voulez trouver un poste intéressant ailleurs qu'à Paris, sans forcement généraliser (évidemment que certains trouve un poste qui leur convient, mais ce n'est clairement pas le cas de la majorité. cf. Turn-over de malade dans les SSII/SEN en Province), c'est presque la solution ou sinon vous passerez par des SSII/SEN obscure aux méthodes chamanique qui vous trouverons des projets venue d'ailleurs .
2  0 
Avatar de GreatDeveloperOnizuka
Membre expert https://www.developpez.com
Le 30/10/2019 à 13:27
Citation Envoyé par gangsoleil Voir le message
En plus de l'analyse complète de defZero, j'aimerai revenir sur 2 point :

On voit bien pourquoi ils publient les chiffres *hors logiciels*, mais dans un domaine comme l'informatique, c'est tout de même assez risible d'exclure cette catégorie... Mais bon, ça permet de donner une croissance de 6.5 au lieu de 1.4, donc je vois bien leur intérêt.

L'Île de France représente environ 18 à 20 % de la population française, mais plus de 50% des emplois en informatique d'après le Syntec, et ça ne les étonne pas ?? Moi si. Je peux tout à fait admettre qu'il y a plus d'emplois en informatique en IdF qu'ailleurs, mais pas en cette proportion, et du coup je pense qu'ils passent à côté d'un grand nombre. Est-ce que, par exemple, ils incluent les emplois des entreprises utilisant la convention collective de la metallurgie, ce qui est le cas de pas mal d'entreprises qui faisaient de l'électronique et qui font maintenant du logiciel ? Ou bien y-a-t-il plus d'indépendants en province qui ne sont pas non plus comptabilisés ? Ou encore pleins d'autres raisons ?

Ce que je retiens surtout de ce discours, c'est que c'est du vent qui présente les choses comme il veut pour faire croire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes...
Même ceux qui sont dans d'autres conventions, l'IDF resterait au top je pense. Il y a les sièges de la plupart des grosses boîte là-bas. Après d'autres villes se débrouillent bien aussi comme Niort pour les assurances. Pour y avoir passé plusieurs années, tu changes de job en SSII comme tu changeais de chemise en IDF avec augmentation de salaire à la clef. Je pense pas que j'aurais pu faire ça en province .
1  0 
Avatar de GreatDeveloperOnizuka
Membre expert https://www.developpez.com
Le 30/10/2019 à 17:46
Citation Envoyé par grunk Voir le message
Faire plus de 2h de trajet A/R j'ai déjà donné (en bagnole) et c'est non merci. Tu pars à 7h le matin , tu rentres à 19h quand tout va bien ... bonjour la vie de famille.

Perso je suis en plein coeur de la cote d'or , à 10min de mon taf en voiture , pas de feu , pas de bouchon et je suis pas payé particulièrement moins que mes connaissances en RP (un peu mais pas de quoi justifier ne serait ce que le coût de la vie) et j'ai des projets en général plutôt intéressant. Bref je suis pas mal

Après je comprend aussi les gens qui veulent une carrière , avoir des grand noms sur leur CV , mais c'est pas mon délire , je suis pas prêt à sacrifier ma qualité de vie pour une ligne prestigieuse sur mon CV.
Si une personne veut une grosse carrière à Paris, elle a intérêt à palper un max (100k mini en fixe hors bonus) pour pouvoir habiter pas loin de son boulot (je parle pour une personne bossant en intra-muros) . Sinon c'est clairement la galère .
0  0